#26 [↑][↓]  03-01-2012 16:49:24

garciarichard
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Re: [FSX] Les Pyrénées

coyote60 a écrit:

Bah....et pas un mot sur l'oiseau ? laugh Un Flettner fl 282 Colibri si mes recherches sont correctes ?

J'en ai parlé dans la rubrique "La Ferté:   http://www.pilote-virtuel.com/viewtopic.php?id=38616

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#27 [↑][↓]  03-01-2012 17:46:35

coyote60
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Re: [FSX] Les Pyrénées

Effectivement, mais je ne suis pas sur tous les fronts solv_gif


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#28 [↑][↓]  03-01-2012 17:52:39

garciarichard
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Re: [FSX] Les Pyrénées

coyote60 a écrit:

Effectivement, mais je ne suis pas sur tous les fronts solv_gif

Bon alors je te pardone:8laugh


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#29 [↑][↓]  04-01-2012 17:11:43

garciarichard
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Re: [FSX] Les Pyrénées

Tous mes article publiés dans cette rubrique et d'autre sont: http://img18.imageshack.us/img18/1834/63646613.jpg
Nous voici dans un endroit des Pyrénées, magique.
Rennes le Château
Rennes-le-Château (Rènnas del Castèl en occitan) est une commune française, située dans le département de l'Aude et la région Languedoc-Roussillon.
Rennes-le-Château a notamment été rendu célèbre par l'un de ses curés, l'abbé Saunière, qui y aurait trouvé un trésor.
http://img838.imageshack.us/img838/2066/rennes.jpg
Survol de "Rennes le Château" en caudrpn G4, vous pouvez appercevoir la "Villa Bethania", à votre droite le pic de "Bugarach", rendu célebre par les fondus qui vont s'y cacher because le bug de 2012.
Géographie
Rennes-le-Château est situé dans le sud du département de l'Aude à quelques kilomètres de Couiza. Le village est juché sur un piton rocheux dominant la région naturelle du Razès, ancien comté rattaché au comté de Carcassonne
Armoiries
Le blasonnement de la commune est le suivant : D'azur à la bordure d'or.
Histoire
Rennes-le-Château a une histoire longue et complexe. Son territoire actuel a été occupé dès la Préhistoire, puis a abrité une colonie romaine et une forteresse médiévale.
Préhistoire et Antiquité
Les Gaulois fondèrent le premier village, envahi ensuite par les Romains. Le nom de Rennes-le-Château vient du latin Rhedae.
Moyen Âge
À l'époque de Charlemagne, selon la légende, la ville aurait été aussi importante que Narbonne et Carcassonne. Elle serait même le siège du royaume wisigoth du VIe et VIIe siècle mais il n'y a aucune preuve de ce point.
Elle est aussi le chef-lieu du Razès au VIIIe siècle. Le comté de Razès passe en 1422 à la maison d'Hautpoul, originaire d'Aussillon près de Mazamet, par le mariage de Pierre-Raymond d'Hautpoul avec Blanche de Castille, fille de Jeanne de Voisins, descendante de Pierre II de Voisins à qui le Razès avait été inféodé en 1230[1].
Époque moderne et contemporaine
François d'Hautpoul (1689-1753) releva le titre de marquis de Blanchefort tombé en désuétude, que lui apporta en dot son épouse Marie de Nègre d'Ables (1714-1781), dame de Niort, de Roquefeuil et de Blanchefort.
L'abbé Saunière arrive au village de Rennes-le-Château en 1885. De 1887 à 1897, il rénove l'église Sainte-Marie Madeleine. Il construit aussi la villa Béthanie, la Tour Magdala, une galerie, une tour de verre et des jardins. Une rumeur court sur la découverte d'un trésor par l'abbé Saunière. Depuis, et en particulier après la publication du roman Da Vinci Code, qui reprend des éléments de la rumeur de Rennes-le-Château, le village voit le passage fréquent de curieux ou de soi-disant « spécialistes » qui tentent de percer le mystère de l'abbé. La municipalité a d'ailleurs été contrainte de prendre un arrêté dans les années 1960, interdisant les fouilles sur son territoire.

Pech de Bugarach
http://img12.imageshack.us/img12/4116/250pxbugarach.jpg
Le Pech de Bugarach ou Pic de Bugarach (en occitan Puèg de Bugarag) est un pic des Pyrénées françaises situé dans l'Aude, en région Languedoc-Roussillon.
C'est le point culminant des Corbières avec 1 230 mètres d'altitude. De son sommet l'on jouit d'un panorama qui s'étend des Pyrénées à la Montagne Noire et de la Méditerranée à la haute vallée de l'Aude.
Peut-être à cause de son passé cathare[réf. nécessaire] ou de sa proximité avec Rennes-le-Château, le mont Bugarach est, dans certains milieux, réputé être associé à une activité OVNI. À la fin 2010, le maire de la commune de Bugarach se plaint de l'arrivée massive de visiteurs prétendant que seul le village échappera à la destruction du monde en 2012[2].
http://img705.imageshack.us/img705/1869/rennes1.jpg
Bravo à toute l'équipe d'Occitania pour cette scene magnifique.

Dernière modification par garciarichard (06-01-2012 18:40:58)


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#30 [↑][↓]  06-01-2012 13:15:21

garciarichard
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Re: [FSX] Les Pyrénées

A la demande générale: http://img18.imageshack.us/img18/1834/63646613.jpg
Nous voici aujoud'hui sur un site que j'ai souvent vissité dans ma jeunesse, bravo aux concepteurs d'Occitania, de l'avoir mi dans leur magnifique Scene.

Montsegur
Le château de Montségur (Montsegur en occitan), construit en 1206, est un château qualifié de cathare. En effet, ce château fut implanté à l'emplacement arasé de l'ancien village fortifié qui constituait, jusqu'au siège de 1244, le lieu de résistance des cathares et des faydits. Les cotes architecturales démontrent que le château actuel fut conçu sur la base de la canne anglaise qui ne fut introduite qu'ultérieurement ce qui prouve que celui-ci a été partiellement reconstruit par la famille du nouveau Seigneur des lieux, le Maréchal de la Foi Guy II de Lévis après la reddition cathare de 1244.
http://img845.imageshack.us/img845/5685/montsegur.jpg
Géographie
Située sur la commune de Montségur dans le département de l'Ariège et la région Midi-Pyrénées.
Le château, restauré, est situé sur le point culminant de la montagne qui surplombe le village, à 1 207 mètres d'altitude au dessus du Pays d'Olmes.
Histoire
Le château sur le site actuel a connu trois époques majeures au cours desquelles la forteresse se transformera peu à peu.
Une première forteresse, signalée dès le XIIe siècle, fut érigée au sommet de la montagne, appelée aussi pog (un Pog, est l'interprétation libre, par Napoléon Peyrat, d'une forme ariégeoise du mot occitan puèg / puòg, du latin pŏdĭum, signifiant « éminence », pour désigner la montagne en forme de pain de sucre de Montségur. Cette version est désormais communément admise, mais exclusivement au bénéfice de Montségur), dont on ne sait peu de choses si ce n'est qu'elle était en ruines aux alentours de 1204, date à laquelle le village fortifié cathare fut bâti sous la direction de Raymond de Péreille. C'est le village fortifié ou castrum auquel les archéologues ont donné le nom de Montségur II.
La forteresse cathare
Vue intérieure du châteauLe dispositif défensif de cette forteresse était différent de celui que l'on connaît actuellement. Le castrum en lui-même comprenait la demeure fortifiée du seigneur des lieux, le castellum ou castèl en occitan (qui sera sans doute restauré par la maison de Lévis pour donner la forteresse actuelle) et le village cathare de l'époque entourés par une enceinte fortifiée. Du côté de la route actuelle, se dressaient trois murs de défense dont le premier se situait au niveau du guichet actuel pour la visite payante du château. De l'autre côté du pog, à 800 mètres environ, se trouvait une tour de guet (au Roc dit de « La Tor » la tour) surplombant une falaise de 80 mètres. L'entrée du castrum qui donne sur cette tour de guet était défendue par une barbacane. À l'intérieur de l'enceinte de la forteresse, se dressait un village dont il ne reste que quelques terrasses au nord-ouest du château actuel. Sur ces dernières, on y trouve les fondations de plusieurs habitations, des escaliers pour communiquer entre les terrasses, une citerne et un silo.
Montségur abrita une communauté cathare importante. En 1215, le concile de Latran cite la forteresse comme étant un repaire d'hérétiques. En 1229, le rôle de Montségur comme abri pour l'Église cathare est réaffirmé dans le traité de Meaux-Paris. À partir de 1232, ce rôle ne cesse de se renforcer. Parallèlement, le château accueille également les chevaliers faydits qui furent dépossédés de leur terres par le traité de 1229. Au nombre de ces derniers figure Pierre-Roger de Mirepoix, cousin de Raymond de Péreille qui sera le maître militaire de Montségur.
Le siège du castrum
Dans la première moitié du XIIIe siècle, la forteresse subit pas moins de quatre sièges dont un seul sera couronné de succès :
Guy de Montfort, frère de Simon IV de Montfort fait une première tentative en 1212,
Simon IV de Montfort dirige la deuxième en 1213,
En juillet 1241, Raymond VII de Toulouse sur l'ordre de Louis IX débute un siège qu'il lève sans même donner un assaut,
Le dernier est l'œuvre de Hugues des Arcis, sénéchal de Carcassonne.
Ce dernier fut déclenché par le massacre de quelques inquisiteurs en 1242 à Avignonet par une soixantaine d'hommes issus de la garnison de Montségur. Le sénéchal de Carcassonne et l'archevêque de Narbonne (Pierre Amiel) furent chargés d'assiéger la forteresse, sur l'ordre de Blanche de Castille et de Louis IX. En mai 1243, les croisés, au nombre d'environ 6 000 hommes, entourent Montségur.
L'équilibre des forces perdure jusqu'à Noël 1243 où une poignée d'« alpinistes » parvient, suite à une escalade audacieuse effectuée de nuit, à se rendre maître de la tour de guet. À partir de ce moment, un trébuchet est acheminé et monté, qui bombarde sans relâche la position des assiégés comme en témoignent les nombreux boulets de pierre taillée retrouvés sur le site. Environ un mois plus tard, peut-être suite à une trahison locale, la barbacane tombe aux mains des assaillants.
Un dernier assaut lancé en février sera repoussé mais laissera les assiégés très affaiblis
La reddition de la place forte
Cour intérieur du châteauLe 1er mars 1244, Pierre-Roger de Mirepoix se voit contraint de négocier la reddition de la place forte. Les termes en sont les suivants :
la vie des soldats et des laïcs sera épargnée,
les parfaits qui renient leur foi seront sauvés,
une trêve de 15 jours est accordée pour les cathares qui veulent se préparer et recevoir les derniers sacrements.
Le 16 mars, la forteresse s'ouvre à nouveau. Tous les cathares qui refusèrent de renier leur foi périrent sur le bûcher qui fut dressé pour un peu plus de 200 suppliciés dont la femme, la fille et la belle-mère de Raymond de Péreille : après avoir distribué tout ce qu'ils possédaient à ceux qui les avaient défendus durant dix mois, les parfaits de Montségur furent enfermés dans un enclos préparé au pied de la montagne puis les croisés mirent le feu aux fagots qui y étaient entassés. En tout, deux cent vingt hommes et femmes périrent dans le brasier. Parmi eux se sacrifièrent des soldats de la garnison qui n'avaient pas voulu les abandonner.
Pour certains, le bûcher aurait été monté à 200 m du castrum dans le "Prat dels Cremats" (le champ des brûlés) où une stèle fut par la suite érigée par la contemporaine Société du souvenir et des études cathares. Sur la stèle figure l'inscription : "Als catars, als martirs del pur amor crestian. 16 de març 1244". Pour d'autres, il semblerait que le lieu réel du bûcher soit sur la colline au-dessus du parking à droite du col en se rendant sur Montferrier.
D'après Yves Dossat, le bûcher fut érigé à Bram, dans le canton de Fanjeaux[1].
Montségur sous le règne de la famille de Lévis
Après la prise du château en 1244, la possession du pog revient à Guy II de Lévis, Maréchal de la Foi, seigneur officiel de Mirepoix depuis le traité de 1229. Les restes du village cathare furent rasés ainsi que l'enceinte fortifiée extérieure. Le castellum fut restauré et réaménagé pour y poster une garnison d'une trentaine d'hommes qui resta présente jusqu'au Traité des Pyrénées au XVIIe siècle. Certains documents mentionnent le château comme étant « défensable » en 1510. Puis, au fil des décennies, le château finit par être abandonné
Réhabilitation du château
Mur d'enceinte extérieurLe château fut classé monument historique en 1875 et le puòg sur lequel il est situé rejoint ce classement en 1883.
Depuis, le site n'a cessé d'enflammer les imaginations à un tel point que beaucoup n'ont pas hésité à fouiller le puòg à titre personnel pour les raisons que nous verrons plus bas. Paradoxalement, la campagne de restauration du château débutée en 1947 freina ces dégradations et effaça dans le même temps certains indices archéologiques. Cette restauration motiva une prospection spéléologique de la montagne, menée par la Société spéléologique de l'Ariège. Cette dernière aboutit, en 1964 à l'exhumation d'une sépulture dans l'avenc du trébuchet. En 1968, le GRAME (Groupe de Recherche Archéologique de Montségur et Environs) est fondé. Ce dernier a déjà conduit plusieurs campagnes de fouilles sur le site.
Le phénomène solaire de Montségur
Chaque année, au solstice d'hiver, le premier rayon de soleil à l'horizon traverse le château dans sa longueur et, au solstice d'été, il traverse les quatre archères du donjon au nord-ouest avec une précision millimétrique. Un phénomène comparable est visible à Quéribus. Certaines personnes y voient un lien entre le culte solaire, d'origine manichéenne, et la religion des cathares.
Le trésor de l'église cathare
Montségur est supposé avoir abrité le riche trésor de l'église cathare. De ce supposé trésor nous ne savons que peu de choses. Deux faits alimentent les suppositions autour de ce trésor. Le premier, est la fuite à cheval du parfait Mathieu et du diacre Bonnet aux environs de Noël 1243 emportant avec eux "de l'or et de l'argent et une infime quantité de monnaie". On pense que ce trésor est parvenu en Italie à Crémone, lieu d'Italie où une autre communauté cathare importante a vécu. Cette supposition est renforcée par les correspondances épistolaires avérées entre les deux communautés.
Un deuxième trésor aurait été sauvé durant la trêve de mars 1244 puisqu'il est fait état de quatre individus s'enfuyant de Montségur avec un chargement. Les historiens conjecturent que ce trésor réunissait les nombreux textes hérétiques conservés par les Parfaits dans la forteresse.
Le Graal pyrénéen
Montségur a été considéré comme étant le château du Graal. Le Graal aurait été une des pièces du trésor de l'église cathare : la coupe dans laquelle Joseph d'Arimathie aurait recueilli le sang du Christ sur le mont Golgotha ou bien l'émeraude tombée de la couronne de Lucifer lors de la chute des Anges. L'Allemand Otto Rahn a été l'artisan zélé de ce mythe que lui avait inspiré un érudit d'Ussat-les-Bains, Antonin Gadal.
Otto Rahn avait étudié l'histoire des cathares et était passionné par ce Languedoc riche en « légendes ». En 1932, il s'était installé dans la petite station thermale d'Ussat-les-Bains à l'hôtel Les Marronniers dont il avait pris la gérance. Grâce aux théories poétiques d'Antonin Gadal, il écrivit la « Croisade contre le Graal » qui participa activement, après le premier essai sur Montségur de Napoléon Peyrat, au regain d'intérêt pour l'Occitanie.
Romans historiques
Gérard Bavoux, Le porteur de lumière, Pygmalion, 1996
Henri Gougaud, L'expédition, Éditions du Seuil, 1991
Michel Peyramaure, La passion cathare, Robert Laffont, 1999
Antoine, Pierre, Marie, duc de Lévis Mirepoix, "Montségur", Albin Michel, 1924

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Armstrong Whitworth Atalanta

L' Armstrong Whitworth AW.15 Atalante était un 1930 British quadrimoteur avion construit par Sir WG Armstrong Whitworth Aircraft limitée à Coventry
Conception et développementL'Atalanta AW.15 a été conçu pour répondre à une 1930 Imperial Airways exigence d'un avion d'opérer sur ses lignes africaines, et en particulier sur le service entre Kisumu au Kenya et à Cape Town , Afrique du Sud . La spécification a appelé à un avion de ligne capable de mener à neuf passagers, dont trois membres d'équipage et une charge importante de marchandises sur 400 km (640 km) à une vitesse de croisière de 115 mph (185 km / h) à 9000 pi (2740 m). Comme Imperial Airways avait décidé de standardiser sur quadrimoteur avions afin de prévenir la défaillance d'un seul moteur entraînant atterrissages forcés, la spécification requise quatre moteurs. [ 1 ] Le prototype, G-ABPI, a été nommé Atalante et le premier vol le 6 Juin 1932 , [ 2 ] piloté par Alan Campbell-Orde.

L'Atalante était un monoplan à aile haute, propulsé par quatre 340 ch (250 kW) Armstrong Siddeley Serval moteurs III. Sa construction composite incluse acier, contreplaqué et de tissu. Le train d'atterrissage était de type fixe, mais a été proprement rationalisé pour minimiser la traînée. La conception globale de l'avion était plutôt moderne, et quelque peu réduit l'écart qui existait entre les performances des avions britanniques et américains. [ 3 ]

L'avion avait des défauts de conception très peu nombreux et les problèmes de dentition ont été rapidement surmontées. Le prototype a été volé à l'aéroport de Croydon à l'acceptation par Imperial Airways, et le 26 Septembre 1932, il a volé un service commercial de Croydon à Bruxelles et Cologne .

L'Atalante a été capable de transporter jusqu'à 17 passagers, mais les compagnies aériennes impériales limité les places à neuf passagers pour les avions opérant la route des Indes et 11 passagers à ceux qui opèrent la route africaine.

Le 20 Octobre 1932, le prototype a été endommagé dans un vol d'essai en raison de manque de carburant. Imperial Airways était gêné par l'accident et rebaptisé la machine de production tiers (G-ABTI, Aréthuse ) comme l'Atalanta , en espérant que personne ne remarquerait le swap.

Histoire opérationnelle
Imperial Airways commandé huit avions qui ont tous été livrés en 1933. Le premier service a été piloté à partir Croydon Airport à Bruxelles, puis à Cologne le 26 Septembre 1932. Le prototype G-ABPI quitté l'aéroport de Croydon le 5 Janvier 1933 sur un vol s'avère Cap , Afrique du Sud . Trois autres avions qu'elle a rejoint en Afrique du Sud pour voler le service entre Le Cap et de Kisumu , bien qu'elles se sont révélées trop petites pour le trafic. Le 1er Juillet 1933, une Atalanta a volé le premier service de poste aérienne entre directs de Londres et Karachi . Deux indiens inscrits et deux Britanniques enregistré d'un aéronef exploité un service de Karachi-Calcutta avec a ensuite été étendu à Rangoon et à Singapour .

Le 29 mai 1933, G-ABTL vola à travers à Melbourne, en Australie (arrivée le 30 Juin) sur un vol de la route.

Imperial a retiré l'Atalanta de ses lignes africaines en 1937, deux étant loués par Airways Wilson pour les opérations au Kenya jusqu'au Juillet 1938. Le Atalantas africains ont ensuite été transférés à l'Inde. [ 4 ]

Trois avions ont été perdus avant la Seconde Guerre mondiale et les cinq autres avions ont été repris par la BOAC . En Mars 1941, ils ont été impressionnés en service à la Royal Air Force dans l'Inde , utilisé pour transporter des renforts en Irak en réponse à l' insurrection de Rachid Ali . [ 4 ] En Décembre 1941, ils ont été remis à l' Indian Air Force pour une utilisation sur des missions de reconnaissance côtière, armé d'un seul 0,303 (7,7 mm) mitrailleuses exploité par le navigateur. La dernière patrouille a été volé le 30 août 1942 et les deux survivants ont été transférés à des fonctions de transport où ils ont continué en usage jusqu'en Juin 1944
opérateurs civils
L'Inde
Indian Trans-Continental Airways
Le Kenya
Wilson Airways
Royaume-Uni
British Overseas Airways Corporation
Imperial Airways
les opérateurs militaires
L'Inde
Indian Air Force
Royaume-Uni
Royal Air Force
N ° 24 Squadron RAF
noms des aéronefs et inscriptionsAtalanta
(G-ABPI)
Andromède (G-ABTH)
Aréthuse (G-ABTI, rebaptisé Atalanta; plus tard, VT-AEF)
Artémis (G-ABTJ)
Astrée (G-ABTL)
Athéna (G-ABTK)
Aurora (VT-AEG)
Amalthée (G-ABTG)
Caractéristiques générales
Equipage: 3
Capacité: 9-17 passagers
Longueur: 71 pi 6 po (21,79 m)
Envergure : 90 pi 0 po (27,43 m)
Hauteur: 14 pi 0 po [ NB 1 ] (4,57 m)
Surface alaire: 1285 pi ² (119,38 m²)
Poids à vide : £ 14,832 (6,727 kg)
Masse au décollage maximale : £ 21,000 (9,525 kg)
Motorisation : 4 × Armstrong Whitworth Serval III 10 cylindres à deux rangs refroidi par air moteur radial , 340 ch (254 kW) à chaque
Performance
Vitesse maximale : 156 mph (136 noeuds, 251 km / h) à 3000 pieds (910 m)
Vitesse de croisière : 118 mph (103 noeuds, 190 mph) à 9000 pi (2740 m)
Portée : 640 miles (557 noeuds, 1030 km)
Plafond : 14200 pi (4330 m)
Taux de montée : 700 pi / min [ 10 ] (3,6 m / s)
Montez à 9000 pi (2740 m): 21 min 30 sec

Dernière modification par garciarichard (06-01-2012 18:39:35)


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#31 [↑][↓]  06-01-2012 16:56:13

Kanak
En vacances
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Re: [FSX] Les Pyrénées

Bonjour,
Merci pour toutes ces informations, mais pourquoi ne faire que des copier/coller des pages publiées sur Wikipedia ?.
Creative Commons indique les conditions de publication.
Merci pour les auteurs.

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#32 [↑][↓]  06-01-2012 17:02:36

n666eo
En vacances
Date d'inscription: 16-09-2008

Re: [FSX] Les Pyrénées

Petite photo pour appuyer ton post garciarichard :

https://lh3.googleusercontent.com/-Mx38kM_TCJE/TdLMlkUCpzI/AAAAAAAAAOI/DIHTqlMVbn0/s912/DSC_0074.JPG

J'ajouterai que ce château est un régal pour les prises de vue depuis un planeur, et sert de jalon aux circuits, balisant le kilomètre 20 de Puivert - LFNW.

Un politique qui devait s'ennuyer ayant décidé que si un visiteur tombait lors d'un passage bas d'un planeur devant les remparts, ce serait le pilote du planeur le responsable, je n'ai pas de photo aérienne plus rapprochée du site...


T.

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#33 [↑][↓]  06-01-2012 18:01:38

garciarichard
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Re: [FSX] Les Pyrénées

Kanak a écrit:

Bonjour,
Merci pour toutes ces informations, mais pourquoi ne faire que des copier/coller des pages publiées sur Wikipedia ?.
Creative Commons indique les conditions de publication.
Merci pour les auteurs.

Bonsoir,
Et bien dans la mesure, ou tu publie quelque chose qui est dans le domaine public, il faut s'attendre a être copier, sinon tu ne publie pas, autre réponse, je crois pas être trop con, mais je ne suis pas maitre en Histoire, pourtant je crois être assez férus sur les "Cathares", que j'ai étudiés dans ma jeunesse.mais on ne peut pas tout savoir, et troisième réponse, parce que c'est plus facile (ce qui ne veux pas dire que je copie tout, et pis je savais qu'il y avait des "Raleurs" mais je pensais que ce forum avait été épargné?.
Amitiés
Richard

Dernière modification par garciarichard (06-01-2012 18:09:55)


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#34 [↑][↓]  06-01-2012 18:05:11

garciarichard
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Re: [FSX] Les Pyrénées

n666eo a écrit:

Petite photo pour appuyer ton post garciarichard :

https://lh3.googleusercontent.com/-Mx38 … C_0074.JPG

J'ajouterai que ce château est un régal pour les prises de vue depuis un planeur, et sert de jalon aux circuits, balisant le kilomètre 20 de Puivert - LFNW.

Un politique qui devait s'ennuyer ayant décidé que si un visiteur tombait lors d'un passage bas d'un planeur devant les remparts, ce serait le pilote du planeur le responsable, je n'ai pas de photo aérienne plus rapprochée du site...

Quand j'etait jeune et que je vivais a Toulouse je me suis souvent rendu sur le "Pog", et mon coté préféré, pour les vues était justement le coté gauche du château, à cette époque (années)1972, le catharisme, n'était pas encore à la mode, mais Montsegur n'est pas le seul, j'espère vous emmener sur d'autre châteaux Cathares, à partir de "Puivert-Occitania".

Dernière modification par garciarichard (06-01-2012 18:06:35)


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#35 [↑][↓]  06-01-2012 22:09:09

garciarichard
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Re: [FSX] Les Pyrénées

http://img717.imageshack.us/img717/2633/27975927.jpg

QUERIBUS

Décolage de Narbonne, cap sur Perpignan, moi qui suis catalan, j'adore cette région.
pasage au dessus de "Rivesaltes"(avec l'accent les R qui roulent),'entendez vous pas "Charles Trenet qui chante La sardane"?
Cap au sur l'Ouest, nous passons à la verticale de "Queribus" autre château Cathare.
http://img513.imageshack.us/img513/9758/quribus.jpg

Château de Quéribus
Le château de Quéribus (Queribús en occitan) est un château dit « cathare » situé sur la commune de Cucugnan dans le département de l'Aude. Cette forteresse est perchée sur un piton rocheux à 728 mètres d'altitude, à la frontière du département de l'Aude et des Pyrénées-Orientales. Le château de Quéribus, dont l'existence remonte sans doute au Xe siècle, était un des points de défense du pays cathare. Après sa prise il est intégré au dispositif de défense de la frontière de la France avec l'Aragon. L'annexion du Roussillon par la France (Traité des Pyrénées), qui recule la frontière jusqu'aux Pyrénées, diminue fortement son importance stratégique. Le château se dégrade progressivement jusqu'en 1951. À compter de cette date, le château est progressivement restauré.
Il fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques depuis le 11 octobre 1907
Histoire du Château
Gardien du Grau de Maury, Quéribus est perché sur un étroit piton rocheux à 728 mètres d'altitude. Il surveille le massif des Corbières, la Fenouillèdes et la plaine du Roussillon.

Les origines dans la zone catalane
Le nom du château « Quéribus », qui veut dire rocher des buis est cité pour la première fois en 1021 dans le testament de Bernard Ier Tallaferro, comte de Bésalú[3]. À cette date, le castrum fait partie de la vicomté de Fenouillèdes. En 1111, le comte de Barcelone Raimond Bérenger III hérite du comté de Besalú et donc de droits suzerains sur la vicomté de Fenouillèdes et Quéribus. En 1162 lorsque se forme la couronne d'Aragon, Quéribus est une des principales forteresses barcelonaises au nord des Pyrénées. Toutefois avec l’annexion à la couronne du comté de Roussillon en 1172, le rôle de Quéribus diminue. À la fin du XIIe siècle, la vicomté de Fenouillet est inféodée par le roi Pierre II d'Aragon au vicomte de Narbonne.
La croisade contre les Albigeois
Le château de QuéribusLors de la croisade contre les Albigeois, le château est tenu par le chevalier Chabert de Barbaira, hérétique notoire et farouche opposant aux croisés. Il devient un refuge pour les religieux cathares : Benoît de Termes, diacre puis évêque cathare du Razès y réside en 1230 jusqu'à sa mort en 1241. C'est l'un des derniers châteaux cathares avec le Château de Puilaurens à accueillir des responsables de l'église cathare après la chute de Montségur. La vicomté de Fenouillèdes est d’ailleurs encore sous la protection du seigneur de Roussillon, Nuno Sanç, qui agit comme intermédiaire face au roi de France, c'est pourquoi, alors que la guerre fait rage dans le comté de Toulouse, le château est laissé à l'écart des conquêtes croisées. À la mort de Nuno en 1241 son cousin le roi Jacques Ier d'Aragon hérite du Roussillon et abandonne sa politique de protection du Fenouillèdes, dont la possession est tacitement reconnue au roi de France. Le roi Louis IX ordonne au sénéchal de Carcassonne, Pierre d'Auteuil, de s'emparer du château. La conduite des opérations est confiée à Olivier de Termes, qui connaît les lieux et leur défenseur, pour avoir combattu avec lui face aux croisés. Après un court siège de trois semaines, Chabert de Barbaira se rend à Olivier et échange sa liberté contre la reddition du château, en mai 1255. Le château de Quéribus tombe durant la troisième semaine de mai 1255. Quelques mois plus tard, tombait le dernier castrum, le château de Niort en pays de Sault.
Une forteresse royale
Le donjon du château de Quéribus
La voûte de la salle gothique du donjonEn 1258, le traité de Corbeil fixe la frontière entre la France et l'Aragon au sud des Corbières tout près du château. Il devient alors une place forte maîtresse qui appartient au dispositif défensif français dont le commandement est Carcassonne. Il est l'un des « cinq fils de Carcassonne » : Quéribus, Aguilar, Peyrepertuse, Puilaurens et Termes.
Le château est confié à un châtelain désigné par le sénéchal de Carcassonne. Le premier est Nicolas de Navarre nommé en 1259. Puis durant les XIIIe et XIVe siècles, les rois de France reconstruisent et renforcent la structure défensive du château. En 1473, la forteresse est assiégée et prise par les troupes du roi d'Aragon. Enfin, en 1659, le château perd son intérêt stratégique lors de la signature du Traité des Pyrénées qui fixe définitivement la frontière franco-espagnole. Cependant, une garnison y est maintenue pendant plusieurs décennies
L'abandon du château
Pendant la deuxième moitié du XVIIIe siècle, des capitaines-gouverneurs sont nommés par le roi pour remplacer les châtelains. Ils ont la responsabilité du château, mais sans y résider. Les lieux se dégradent peu à peu et sont le refuge de nombreux brigands.
Abandonnée à la Révolution française, la forteresse continue à se délabrer jusqu'à son classement Monument historique en 1907. La région qui l'entoure avec notamment le Grau de Maury et le village de Cucugnan, constitue un site protégé depuis 1943.
La restauration du château
En 1951, les premiers travaux de rénovation permettent de consolider l'assiette du donjon et de rénover son aspect général. Durant les années 70, de nombreux petits travaux sont réalisés pour consolider certaines parties du château. Mais c'est entre les années 1998 et 2002 que se déroule la restauration complète du château. De nombreux efforts sont faits pour aménager les lieux et sécuriser l'accès au château au public. Ainsi, le toit du donjon est aménagé en vaste terrasse pour accueillir les visiteurs.
De 1984 à 1989, des fouilles archéologiques ont été réalisées autour du château et dans l'enceinte du château. Elles ont révélé l'existence de structures d'habitat sur une plate-forme en contre-bas du château.
Les structures défensives
Le château est constitué de trois enceintes étagées au sommet et le long de la falaise. Elles assuraient les défenses du château grâce à divers systèmes de défense : de fines archères utilisées par les arbalétriers, des meurtrières canonnières pour les armes à feu plus large et des mâchicoulis. Quatre siècles d'évolutions de l'art défensif y sont représentés.
Plusieurs systèmes de défenses des portes sont présents : assommoirs, bretèches. Des chemins de ronde et des casemates assurent la surveillance des points vulnérables. Quinze à vingt hommes suffisaient pour défendre la forteresse. Elle ne pouvait de toute façon pas assurer la survie de plus de soldats vu la taille de la citerne et de l'ensemble des bâtiments.
Les bâtiments et le donjon
Le donjonLe reste de la forteresse est constitué d'un corps de logis, de salle de stockage, de citernes et d'un donjon. Le donjon est une tour polygonale située dans la troisième enceinte au plus haut de la falaise.
Construit en plusieurs fois, les murs du donjon ont été renforcés et l'épaisseur des murs atteint plusieurs mètres. La géométrie polygonale de la structure permet de réduire les effets dévastateurs des projectiles. À l'intérieur, la salle gothique contient deux pièces (la cave et la salle principale) et est éclairée par une imposante fenêtre. L'intérieur étonnant de cette structure tranche avec l'aspect massif de la tour. En effet, la salle contient les restes d'une cheminée sur le mur Ouest. Un imposant et superbe pilier retient la voûte nervurée de quatre croisés d'ogives. Le culot du pilier est de type pyramidal et soutenait le plancher qui séparait la salle principale de la cave. Le pilier central de la salle gothique garde son mystère : c'est le seul cas d'une chapelle située au cœur d'un donjon.
Le sommet du donjon détient une terrasse accessible par un escalier à vis situé dans une tour rectangulaire accolée au donjon. De cet endroit s'ouvre un panorama sur les Pyrénées, la mer Méditerranée et les vignobles de Corbières.
PS: ne pas oublier le village de "Cucugnan" qui se trouve juste derrière le pog du château.

Dernière modification par garciarichard (06-01-2012 22:11:34)


« On ne voit bien qu’avec le coeur. L’essentiel est invisible pour les yeux.  » St Ex.

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#36 [↑][↓]  06-01-2012 23:31:00

domifrance
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Re: [FSX] Les Pyrénées

tongue  ... enfin quelqu'un qui met des photos de mon sud-ouest natal !  Et puis nous la faire découvrir à bord de vieux coucous ... quelle bonne idée

En plus on a droit à une vrai visite guidée, merci pour cette belle présentation   eusa_clap eusa_clap eusa_clap eusa_clap eusa_clap

A+ wink

P.S : pour diminuer l'effet désertique des textures d'origine de FSX tu devrais essayer le pack de textures gratuites d'Adam Mills (FSX European Ground Textures Package) qui sont téléchargeables ... ICI :

http://simviation.com/fsxscenery3.htm

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#37 [↑][↓]  06-01-2012 23:59:32

n666eo
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Re: [FSX] Les Pyrénées

hé bé je vois que je ne suis pas tout seul dans le Sud ! Il y en a qui volent dans les clubs du coin ? Perpi, Narbonne, Carca, Puivert, La Llagone, Pamiers, La Montagne Noire en gros ?


T.

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#38 [↑][↓]  07-01-2012 09:26:21

garciarichard
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Re: [FSX] Les Pyrénées

n666eo a écrit:

hé bé je vois que je ne suis pas tout seul dans le Sud ! Il y en a qui volent dans les clubs du coin ? Perpi, Narbonne, Carca, Puivert, La Llagone, Pamiers, La Montagne Noire en gros ?

Bonjour,
Oui aprés avoir trainé mes guètres dans tous ces coins plus jeune,(Escalade, balade, etc) j'y reviens en virtuel. Et le coup de force des auteurs d'Occitania, est de l'avoir rendu nykel., je crois que maintenant, je vais aller du coté, pas de chez Swan, mais de la "Dent d'Orlus", et ensuite le "Caroux".
@+

Dernière modification par garciarichard (07-01-2012 09:29:21)


« On ne voit bien qu’avec le coeur. L’essentiel est invisible pour les yeux.  » St Ex.

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#39 [↑][↓]  07-01-2012 20:26:50

garciarichard
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Re: [FSX] Les Pyrénées

http://img844.imageshack.us/img844/5158/55641119.jpg
ANDORE
http://img710.imageshack.us/img710/9168/64467082.jpg
On ne pas parler des Pyrénées, sans penser à Andore, cette principauté, se trouve au beau millieux des Pyrénées.
http://img827.imageshack.us/img827/900/andore.jpg
Décolage de l"aérodrome de la "Seu d"Urgel", cap plein Nord.
L’Andorre, en forme longue la Principauté d’Andorre, officiellement et en catalan Andorra et Principat d'Andorra, est un pays d’Europe du Sud sans accès à la mer, situé dans les Pyrénées entre l’Espagne et la France. Ses habitants sont les Andorrans et Andorranes.
La principauté, dont les origines remontent au règne de Charlemagne, est un des plus petits états du monde et est régie par un système unique, le paréage. Ce contrat de droit féodal concède le trône andorran à deux coprinces, l'évêque catalan d'Urgell et le chef de l'État français.
Longtemps ignorée mais très attrayante, l'Andorre est sortie de son isolement au XXe siècle, durant lequel elle a profité de son cadre naturel exceptionnel et a utilisé un système fiscal avantageux pour devenir une grande destination touristique. Si la principauté est réputée aujourd'hui pour ses pistes de ski et ses faibles taxes, elle est aussi souvent considérée comme un paradis fiscal.
Étymologie
Le nom Andorra désignait uniquement à l’origine la paroisse d’Andorre-la-Vieille (Andorra la Vella). Ce toponyme est attesté dès 839, et viendrait du basque Ameturra, signifiant « Dix sources », composé des mots ama (« dix ») et iturri (« sources »), car, en effet, la rivière Valira recevait sur le territoire de la paroisse d’Andorre-la-Vieille dix affluents[4].
À noter qu'il existe une ville Andorra dans la Province de Teruel (Tergüel en aragonais) située dans la Communauté Autonome d'Aragon (Espagne).
Histoire
Selon une légende du XIe siècle, Charlemagne aurait accordé une charte aux Andorrans pour les récompenser de leurs combats contre les Maures. « Le grand Charlemagne, mon père, des Arabes me délivra. » C'est par ces mots que débute l'hymne andorran.
Le contrôle du territoire passa aux comtes d'Urgell puis à l’évêque du Diocèse d'Urgell, en partage avec la famille de Caboet, puis l’héritage passa aux vicomtes de Castellbó, puis aux comtes de Foix. Les deux coseigneurs (laïc et ecclésiastique) s’affrontèrent souvent à propos de leurs droits sur les vallées d’Andorre.
http://img836.imageshack.us/img836/3142/andore1.jpg
Passage entre les vallées, dircetion Andora la Vielle.
En 1278, le conflit fut résolu par la signature d'un traité instaurant la souveraineté partagée (paréage) de l’Andorre entre le comte de Foix et l’évêque d'Urgell, en Catalogne. Ceci donna à la petite principauté son territoire et sa forme politique.
Les années passant, le titre fut transmis aux rois de Navarre puis au roi de France Henri IV. Un édit établit le chef de l'État français et l’évêque d’Urgell comme coprinces de l’Andorre en 1607. Il passa en 1691 au Général Dansan, qui décida contre la volonté des Français et principalement de l'ambassadeur français de dévoiler le projet d'un pays sans taxe.
Au cours de la période 1812-1814, l'Empire français annexa la Catalogne espagnole, la divisa en quatre, puis trois départements (Sègre, Ter, Montserrat et Bouches-de-l'Èbre, réunis en 1813 au sein des Bouches-de-l'Èbre-Montserrat). L’Andorre fut aussi annexée et rattachée au district de Puigcerdà (département de Sègre).
Le 6 juillet 1934, le Russe Boris Skossyreff fut proclamé roi du gouvernement d’Andorre sous le nom de Boris 1er. Le 14 juillet, un groupe de la guardia civil[5] dirigée par le marquis Silva de Balboa, entra en Andorre, l'arrêta pour l'expédier vers Barcelone, plus tard vers Madrid pour être expulsé vers le Portugal.
Le 25 septembre 1939, l’Andorre signa un traité de paix avec l’Allemagne, car sa non-ratification du Traité de Versailles l’avait laissée légalement en guerre avec ce pays. Ainsi, le petit pays resta neutre pendant la Seconde Guerre mondiale.
Étant donné son relatif isolement, l’Andorre est restée en marge de l’histoire européenne pendant longtemps, cultivant un certain mystère.
Au cours de la Seconde Guerre mondiale, Andorre sut préserver sa neutralité, rendue précaire par la proximité de voisins aux régimes autoritaires. Sans que cela ait été une politique délibérée, Andorre servit de lieu de passage et de plaque tournante à un grand nombre de fugitifs et d'évadés. Plusieurs dizaines de milliers de personnes ont probablement transité par la principauté entre 1940 et 1945 : militaires polonais, Français désireux de rejoindre les forces armées des généraux Giraud et De Gaulle en Afrique du Nord, aviateurs alliés abattus (britanniques, canadiens, américains, polonais, etc.) et, enfin, Juifs fuyant les persécutions nazies et du régime de Vichy. En 1945, il s'agira alors de nazis ou de collaborateurs français cherchant refuge en Espagne.
http://img864.imageshack.us/img864/5928/andore2.jpg
Survol de la chaine Pyrénéenne Andorane, le pays des milles lacs.
Un grand nombre de passeurs et d'hôteliers andorrans ont contribué à ces transits, malgré la présence d'agents secrets et d'espions de tous les bords (Allemands, Français de Vichy, franquistes). Les réseaux d'évasion britanniques, polonais, français et américains ont pu discrètement mener à bien leurs missions[6].
Dans les années 1950, le pays a commencé à attirer les visiteurs. Depuis, son tourisme prospère, ainsi que le développement de ses moyens d’accès et d’hébergement, qui sortent le pays de son anonymat.
Politique
La première constitution de l'Andorre a été adoptée par référendum le 14 mars 1993. Cette adoption consacre de fait l'indépendance du pays et son entrée à l'Organisation des Nations unies. Le régime de l’Andorre est la coprincipauté parlementaire, héritage lointain du pareatge (paréage) de 1278 entre l’évêché d’Urgell et le comte de Foix.
D’après la constitution, les coprinces, institution issue des Paréages et de leur évolution historique, sont, à titre personnel et exclusif, l’évêque d’Urgell et le Président de la République française représenté par le Viguier d'Andorre. Leurs pouvoirs sont égaux et procèdent de la Constitution. Chacun d’eux jure ou promet d’exercer ses fonctions conformément à la Constitution.
Sauf dans les cas prévus par la Constitution, les coprinces n’engagent pas leur responsabilité. La responsabilité de leurs actes incombe aux autorités qui les contresignent.
La composition politique du pays se constitue d'un chef du gouvernement, Antoni Martí Petit, d'un coprince espagnol qui est Joan Enric Vives i Sicilia et d'un coprince français qui est le président de la république française au même moment, Nicolas Sarkozy. Le Conseil général (Parlement), qui assure une représentation mixte et paritaire de la population nationale et des sept paroisses, représente le peuple andorran, exerce le pouvoir législatif, approuve le budget de l’État, donne l’impulsion à l’action politique du gouvernement et la contrôle. Le Conseil général se compose d’un minimum de vingt-huit et d’un maximum de quarante deux conseillers généraux. La moitié d’entre eux est élue, en nombre égal, par chacune des sept paroisses et l’autre moitié est élue dans le cadre d'une circonscription nationale unique. Le Chef du gouvernement (Cap de Govern) est issu du Conseil général.
Les Andorrans sont avant tout fiers de leur liberté et de leur indépendance. Habitués de longue date au régime représentatif, vivant en paix depuis onze siècles, ils n'ont guère modifié leur système administratif. Tous les deux ans, entre le 10 et le 15 décembre, chaque paroisse élit pour quatre ans (au suffrage universel depuis 1947) la moitié des membres du conseil de paroisse et deux conseillers généraux. Ce conseil général, appelé avant 1866 « Conseil de la Terre », tient une session par mois à la Casa de la Vall et choisit tous les trois ans, le syndic général ainsi que le vice-syndic.
http://img651.imageshack.us/img651/7664/andore3.jpg
Passage à la verticale d'Andore la Vielle.
Paroisses
Le pays est divisé en sept Paroisses (Parròquies = Régions, Territoires), dans l'ordre protocolaire :[7]
Canillo, la plus étendue, limitrophe du département français de l'Ariège ;
Encamp, limitrophe des départements français de l'Ariège et des Pyrénées-Orientales, ainsi que de la province espagnole de Lleida ;
Ordino, paroisse la plus au nord, limitrophe du département français de l'Ariège par les villages de Auzat, Lercoul, Siguer et Gestiès.
La Massana, limitrophe du département français de l'Ariège (Auzat) et de la province espagnole de Lleida ;
Andorre-la-Vieille, paroisse la plus peuplée et dont la principale ville (Andorra La Vella) est la Capitale, limitrophe de la province espagnole de Lleida ;
Sant Julià de Lòria, la plus au sud, limitrophe de la province espagnole de Lleida ;
Escaldes-Engordany, la plus récente (création en 1978, de la division de la Parròquia d'Andorra La Vella), limitrophe de la province espagnole de Lleida.
Géographie
En raison de sa localisation dans le massif des Pyrénées orientales, l'Andorre est constituée principalement de montagnes élevées d'une hauteur moyenne de 1 997 m dont le point le plus élevé est la Coma Pedrosa à 2 946 m. Le territoire est divisé en trois vallées étroites en forme de Y qui se regroupent en une seule suivant le courant principal, la rivière Valira, coulant vers la Catalogne (au point le plus bas de l'Andorre qui est à 870 m). Le pays des vallées d'Andorre entre la France et l'Espagne, sur le versant sud des Pyrénées, est constitué par deux vallées principales : celle du Valira del Orient et celle du Valira del Nord dont les eaux réunies forment le Valira. En territoire espagnol, cette rivière se jette dans le Sègre, affluent de l'Èbre. Une ceinture de hauts sommets, dont l'altitude oscille entre 2 500 et 3 000 mètres, isole l'Andorre de la France. Le col utilisé par la route, le port d'Envalira, est à 2 409 mètres d'altitude et marque la ligne de partage des eaux entre l'océan Atlantique et la Méditerranée. Les communications avec l'Espagne, par la vallée du Sègre, en Cerdagne espagnole, sont beaucoup plus faciles et restent assurées en toutes saisons.
La superficie de l'Andorre est de 468 km2.
Le climat de l'Andorre est similaire au climat tempéré de ses voisins, mais sa haute altitude signifie qu'il y a en moyenne plus de neige en hiver et qu'il fait légèrement plus frais en été.
La route qui mène de la France à Andorre-la-Vieille passe par le port d'Envalira[8] qui est le plus haut col routier des Pyrénées[9]. Ce col est doublé d'un tunnel, ouvert à la circulation depuis le 29 septembre 2002.
L'Andorre abrite cinq stations de ski.
62 sommets de plus de 2 000 m sont sur son territoire.
L'Andorre compte un peu plus d'une trentaine de lacs.
Afin de réaliser un viaduc au-dessus de l'Ariège, un traité entre la France et l'Andorre a permis l'échange de 1,5 hectare de territoire français]. Le lieu concerné se situe sur la commune de Porta (Pyrénées-Orientales).
Économie
La vie est consacrée en grande partie à l'élevage et à la culture. Le développement de l'équipement hydro-électrique et touristique a amené un notable changement dans la vie andorrane.
L'Andorre, bien qu'enclavée entre la France et l’Espagne et bien qu'utilisant comme elles l’Euro, ne fait pas partie de l'Union Européenne, tout en ayant des relations et certains accords avec elle. Ceci étant, les produits y sont vendus avec une taxation moindre.
L'Andorre est considérée par certains pays à haute fiscalité comme un paradis fiscal, parce qu'elle ne lève pas d'impôt sur le revenu ou sur la fortune, qu'elle a seulement 2 % de fonctionnaires et qu’elle pratique une fiscalité légère, l’essentiel des ressources de l'État provenant d'un impôt sur les importations (impost de mercaderies indirecte). Cela étant, plusieurs taxations modérées sont depuis peu en vigueur ou en projet... La TVA est de 4 %.
http://img815.imageshack.us/img815/3512/andore4.jpg
En vue du petit terrain de "Cerdania"
L'économie repose principalement sur deux formes de tourisme ; le tourisme de passage qui profite des prix plus bas qu'en Espagne ou en France (tabac et alcool 2,5 fois moins chers qu'en France) et le tourisme blanc, qui tout en profitant de ces quelques avantages tarifaires, vient surtout pour l'offre des sports d'hiver. Ces derniers y sont pratiqués dans quatre stations de ski alpin : Pas De La Casa-Grau Roig et Soldeu-El Tarter (aujourd'hui deux domaines skiables réunis sous la marque Grand Valira), Pal-Arinsal et Ordino-Arcalis (deux domaines réunis sous la marque Vallnord) et une station de ski de fond : La Rabassa.
Par ailleurs, le patrimoine architectural, religieux notamment, est remarquable et est une des autres motivations touristiques. De nombreuses petites églises aux belles peintures d'inspiration romane (Sant Joan de Caselles, La Cortinada, Sant Roma de Les Bons, ...) parsèment le pays. Elles témoignent de la ferveur traditionnelle et de l'attachement de la population à ses différents terroirs. La relance récente du thermalisme aux Escaldes avec Caldea complète une offre riche en loisirs et découvertes variés (gastronomie entre autres).
Langue
La langue officielle est, selon l'article 2 de la constitution de 1993, le catalan. Le Conseil général a adopté le 16 décembre 1999 une loi réglementant l'usage de la langue officielle[19], qui se donne pour objectif de préserver l'identité linguistique d'Andorre. Constatant que la proximité du français et du castillan (espagnol), la place de l'enseignement dans ces deux langues en Andorre, l'importance de l'immigration et du tourisme pouvaient représenter une menace pour la vitalité du catalan, les autorités andorranes, avant cette loi au cours du XXe siècle et depuis 1999, ont multiplié les réglementations visant à protéger la place du catalan dans tous les aspects de la vie sociale[20].
La variété du catalan parlée en Andorre est le catalan nord-occidental.
Andorre est le seul État souverain au monde dont la langue officielle est le catalan.
Éducation
La loi fondamentale sur l'éducation reconnaît l'existence de trois systèmes éducatifs : le système français, le système andorran et le système espagnol, auxquels s'ajoute un système "congrégationnel" (en langue catalane).
Le système français est aujourd'hui le second système en nombre d'élèves, après avoir été le premier. Il est actuellement régi par la convention franco-andorrane du 24 septembre 1993 et comprend 14 écoles maternelles et primaires et le lycée (et collège) Comte de Foix. Il prépare aux examens français, mais comporte à tous les niveaux un enseignement spécifique de la langue catalane, ainsi que de l'histoire, des institutions et de la géographie de l'Andorre. L'enseignement primaire existe depuis le début du XXe siècle, le premier cycle du secondaire depuis 1962, le second cycle depuis 1979.
Le système andorran a été établi en 1982. L'enseignement y est donné en catalan, mais le français y est enseigné en parallèle pour tous.
Le système espagnol est régi par une convention de 2003. Le système éducatif espagnol y est appliqué, mais il comporte aussi un enseignement spécifique de la langue catalane, ainsi que de l'histoire, des institutions et de la géographie de l'Andorre.
Religion
La population de l'Andorre est majoritairement catholique[21]. La sainte patronne est Notre Dame de Meritxell.
http://img440.imageshack.us/img440/4173/andore5.jpg
Posé sur le terrain de "Cerdania"

Dernière modification par garciarichard (07-01-2012 20:36:57)


« On ne voit bien qu’avec le coeur. L’essentiel est invisible pour les yeux.  » St Ex.

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#40 [↑][↓]  07-01-2012 21:56:13

Kanak
En vacances
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Re: [FSX] Les Pyrénées

Je vais me faire incendier, mais tant pis.
Quel intérêt à recopier ici des textes entier récupérés sur Wikipedia, textes que personne ne lit !!!
Un simple lien suffit amplement.

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#41 [↑][↓]  07-01-2012 23:24:28

garciarichard
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Re: [FSX] Les Pyrénées

Kanak a écrit:

Je vais me faire incendier, mais tant pis.
Quel intérêt à recopier ici des textes entier récupérés sur Wikipedia, textes que personne ne lit !!!
Un simple lien suffit amplement.

Personne ne lis, parlez pour vous, et puis certains n'ont pas le temps de chercher, ni même l'idée, et pis faite mieux et on verra e_colere3
Voila, voili, voilou.
Un exemple:

domifrance
Modérateur
  ... enfin quelqu'un qui met des photos de mon sud-ouest natal !  Et puis nous la faire découvrir à bord de vieux coucous ... quelle bonne idée

En plus on a droit à une vrai visite guidée, merci pour cette belle présentation       

A+

P.S : pour diminuer l'effet désertique des textures d'origine de FSX tu devrais essayer le pack de textures gratuites d'Adam Mills (FSX European Ground Textures Package) qui sont téléchargeables ... ICI :

http://simviation.com/fsxscenery3.htm

Dernière modification par garciarichard (07-01-2012 23:26:40)


« On ne voit bien qu’avec le coeur. L’essentiel est invisible pour les yeux.  » St Ex.

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#42 [↑][↓]  07-01-2012 23:28:34

garciarichard
Copilote
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Re: [FSX] Les Pyrénées

domifrance a écrit:

tongue  ... enfin quelqu'un qui met des photos de mon sud-ouest natal !  Et puis nous la faire découvrir à bord de vieux coucous ... quelle bonne idée

En plus on a droit à une vrai visite guidée, merci pour cette belle présentation   eusa_clap eusa_clap eusa_clap eusa_clap eusa_clap

A+ wink

P.S : pour diminuer l'effet désertique des textures d'origine de FSX tu devrais essayer le pack de textures gratuites d'Adam Mills (FSX European Ground Textures Package) qui sont téléchargeables ... ICI :

http://simviation.com/fsxscenery3.htm

Merci pour ton lien, mais cela s'instale ou??? Avant que je ne fasse des bétises


« On ne voit bien qu’avec le coeur. L’essentiel est invisible pour les yeux.  » St Ex.

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#43 [↑][↓]  20-09-2013 00:12:36

PAPY DANIEL
Pilote Virtuel
Date d'inscription: 22-03-2011

Re: [FSX] Les Pyrénées

Bonjour,  je viens de revoir ce post en cherchant LFNW. Vous devriez faire un saut ici
http://www.pilote-virtuel.com/viewtopic … 49#p586049
c'est en pleine cohérence
amicalement
Papy Daniel


cordialement
"Si l'homme des cavernes avait su rire, le cours de l'histoire eut été changé" Oscar Wilde

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#44 [↑][↓]  20-09-2013 00:46:04

n666eo
En vacances
Date d'inscription: 16-09-2008

Re: [FSX] Les Pyrénées

Bonjour Daniel,

Question personnelle : pourquoi cherches tu LFNW?


T.

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#45 [↑][↓]  20-09-2013 22:26:26

PAPY DANIEL
Pilote Virtuel
Date d'inscription: 22-03-2011

Re: [FSX] Les Pyrénées

Salut n666eo
simplement parce que j'ai Occitania of course avec fvfr patché  FSX. Sur le terrain j'ai 1 gros monticule sur la piste et des fossés gigantesques. J'imagine que j'ai un conflit de BGL.
J'ai installé pack Cathares en respectant les fichier à isoler sur Occitania et l'ordre dans la bibliothèque.
Voilà la raison
merci
amicalement
Papy Daniel


cordialement
"Si l'homme des cavernes avait su rire, le cours de l'histoire eut été changé" Oscar Wilde

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