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Bonjour !
J'ai eu la chance d'amener une GoPro dans un DR400, je vous mettrais le lien de la video bientôt !
Certes je ne suis pas laché, mais je voulais vous faire partager les tours de pistes, qu'ils soit normaux, panne volet, basse hauteur ou encore les pannes moteur!
Voilà , a bientôt
Niels
Pilote de DR400 sur LFBR
Université Toulouse III Paul Sabatier - Étudiant en Informatique
Équipe CubeSat TOLOSAT - Responsable Sous-Système OBDH-OBC & Analyse de Mission
Membre de l'ASTRE - Association Spatiale Toulousaine de Recherche Étudiante
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Salut Niels,
Penses à faire une prise de vue qui montre les instruments. C'est très instructif pour nous qui restons sur notre simu.
On voit tant de vidéos de TDP sur le net qui ne montre que le capot et le paysage ...
Bons vols.
Dernière modification par Armand42 (11-05-2015 08:02:25)
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On voit tant de vidéos de TDP sur le net qui ne montre que le capot et le paysage ...
Tu as volé hier Niels ? Je suis passé sur Muret (mais tôt le matin, faisait trop chaud le reste de la journée) et je n'ai pas vu grand monde, à part un Cricri sur le toit d'une Subaru ! (Air expo arrive à grands pas)
[small]Désolé pour la qualité de l'image, c'est tiré du coin de la vidéo prise depuis l'autre côté de la verrière...[/small]
Pour Armand : c'est assez "compliqué" de montrer les instruments. Par rapport à cette vidéo (http://www.pilote-virtuel.com/viewtopic.php?id=69543) sur les flux suivant j'ai reculé la caméra. On voit bien l'ensemble des instruments, mais de là à en lire les valeurs...
De toute façon, hier sur l'approche à St Girons, le badin par exemple sautait régulièrement de 10 ou 15kts en plus ou en moins... Faut pas se focaliser sur les instruments...
Dernière modification par n666eo (11-05-2015 09:08:49)
T.
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Salut n666eo,
Sûr que c'est compliqué, mais oh combien utile, comme sur celle-ci (un TDP chez moi ...)
https://www.youtube.com/watch?v=FblYEV3P-MM
Ou comme celle-ci :
https://www.youtube.com/watch?v=0yyeQq2lS4o
Dernière modification par Armand42 (11-05-2015 09:41:14)
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Si le cadrage de la première vidéo te convient, alors pas de soucis ! C'est un endroit assez pratique pour mettre la caméra, sans trop de vibrations.
T.
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C'est joli, on dirait une scène ORBX !
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Salut Niels,
Penses à faire une prise de vue qui montre les instruments. C'est très instructif pour nous qui restons sur notre simu.
On voit tant de vidéos de TDP sur le net qui ne montre que le capot et le paysage ...Bons vols.
Justement ... en vol à vue on passe 90% du temps à regarder dehors et 10 à jeter des coup d'œil aux instruments
Ce qui serait très intéressant ce serait une caméra couplé au regard du pilote et voir quels instruments il surveille dans les différentes phases du vol.
Les simmeurs pensent que les instruments sont ce qu'il y a de plus important dans le pilotage à vue, il n'en est rien, parmi les instruments il y a ceux dit "de conduite" et ceux dit "de contrôle", les instruments ne sont là que pour vérifier qu'on a la bonne attitude (assiette longitudinale et latérale), et la bonne attitude est visualisé par la position du capot sur l'horizon, par conséquent en vol à vue l'instrument principal ... c'est le pare brise !
a+
"On n'est pas des ... quand même !" Serge Papagalli,
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Salut Bee,
Oui je sais tout ça .... Même que lorsque j'ai fait 45 mn de vol réel sur Cessna 150, le chef pilote m'a dit que contrairement aux autres simmeurs qu'il avait déjà eu, mon attitude vis à vis de la lecture des instruments était tout fait correcte (il s'en est même étonné).
Par contre, moi ce qui m’intéresse sur les vidéos ce sont les moments ou interviennent les changements : quand la descente est débutée, à quel taux, ....
Tout ce qui m'est expliqué et que je pense savoir mais que je voudrais voir "à vrai".
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Ce genre de chose n'est pas codifiée Armand. Il est vrai que l'on donne des "repères" lors de l'apprentissage, parce que c'est pratique. Mais je ne regarde jamais le vario lors d'une approche par exemple. Quand débuter la descente ? En base en général, mais ça peut dépendre de l'âge du capitaine.
Pour te donner un exemple, "en général" on t'apprends à configurer ton avion lors de la vent arrière (tant de tr/min, sortie de tel cran de volet, réchauffe, etc...). Puis à virer en base quand tu as le seuil entre 45 et 60° en arrière, etc... Dans la pratique, tant que possible, mes approches se font à vitesse de croisière jusqu'à environ 500ft/sol... Le virage en base se fait souvent beaucoup plus tôt (éviter le survol d'agglomérations dans l'axe, ou un relief, réduire le temps d'attente de l'avion au point d'arrêt qui attend qu'on soit posé, etc...).
Bref, il y a autant de circuits que de combinaisons avions / terrain / pilotes / trafic / météo / ... Donc ne te formalises pas sur quand est débutée la descente et à quel taux : quand ça va bien au taux qui va bien, et surtout en regardant dehors !
Rien que dans le "standard" ça va dépendre de quel circuit on parle : standard ou rectangulaire ? En France, en Angleterre ou aux US ?
Tu l'auras compris, le début de descente et le vario ne sont pas franchement des paramètre "importants" dans un circuit.
Dernière modification par n666eo (11-05-2015 14:19:59)
T.
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Le vario en finale, je ne regarde tout le temps ... Ca permet de se calibrer le plan à 5%. Je parle en avion motirisé. En exerice panne moteur ou en planeur, je ne le regarde pas.
Dernière modification par antoine (11-05-2015 15:03:48)
A+, Antoine
Mon blog : http://blog.arogues.org
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Le vario en finale, je ne regarde tout le temps ... Ca permet de se calibrer le plan à 5%. Je parle en avion motirisé. En exerice panne moteur ou en planeur, je ne le regarde pas.
Comme quoi chacun ses méthodes ! Je ne le regarde jamais, même sur avion motorisé. De toutes façons ma vitesse passe de vitesse de croisière voir un peu plus en début de finale à la vitesse d'approche à environ 100ft/sol... Ca fait faire beaucoup de calculs tout au long de la finale pour connaître le plan...
Par contre, si tu parles IFR sur une approche de non précision, ça change la donne...
Dernière modification par n666eo (11-05-2015 15:10:13)
T.
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Ouh là ! il n'y a pas 36000 méthodes !
Il y a la méthode rationnelle, basée sur la logique et les pré-affichages, et la méthode genre bricoleur ce celle des pilotes de la guerre de 14-18 !
Les 2 cas peuvent permettre de rester en vie, mais la grande différence est que la méthode rationnelle va fonctionner du premier coup sur n'importe quel avion, du Jodel au B747.
Il n'y a pas de différences fondamentales entre le réel et FS, un modèle bien réglé et conforme va donner les mêmes résultats
Un pilote qui applique cette méthode (celle sous entendu par Antoine) devrait lui permettre de se lâcher sans problème sur n'importe quel type d'avion. Bien entendu dans la pratique ce n'est que rarement le cas, il y a toujours un instructeur pour faire découvrir une nouvelle machine, mais lorsqu'il faut faire voler un monoplace qui n'a aucun équivalent biplace et ben il vaut mieux avoir de la méthode.
"On n'est pas des ... quand même !" Serge Papagalli,
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de LA méthode. Pas UNE méthode. Sinon, dès qu'elle n'est pas applicable, on est dans la panade... On parle bien, au PPL, de VISUALISER le plan, non ? Pas de le CALCULER... Ou bien mon PPL date de la Première Guerre Mondiale ?
T.
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T'façon mon vario est caché par le porte programme et j'ai la bille dans l'coin pendant toute la finale, c'est grave ?
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T'façon mon vario est caché par le porte programme et j'ai la bille dans l'coin pendant toute la finale, c'est grave ?
La bille dos ... C'est normal ;-)))
Thomas, pour vérfier son plan c'est simple : à un instant donné, tu regarde ta vitesse sol si tu as un GPS ou l'estime avec le badin. Tu fais x 5 pour avoir ton vario idéal pour un plan à 5% et tu compares à ton vario.
Ca prend 1 sec et ca peut se faire en approche décélérée (IFR genre ILS ou VFR à l'arrache comme tu fais).
Mais comme le dit Beegee, on peut tout faire à l'arrache. Et je te rassures, après 150h de Cap 10 donc plus de 400 approches en moins de 2 ans, je sais faire des approches à l'arrache ! Cependant, pour un pilote privé qui vole entre 10 et 15h par an, je ne trouve pas la méthode "à l'arrache" particulièrement appropriée et certainement pas celle qui faut apprendre au début.
Dernière modification par antoine (11-05-2015 16:41:40)
A+, Antoine
Mon blog : http://blog.arogues.org
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Messieurs,
Je vous remercie de toutes vos remarques basées sur l'expérience.
Ça me rassure, car pour moi, j'ai fais plusieurs dizaines (voire plus) d'approches avec le C172 de FSX et que constate-je ???
Je constate que maintenant (et ça me désolait ) je fais des TDP presque naturellement, sans trop m'attarder sur les règles de : début de descente, début virage en base, etc et donc sans trop respecter les points que je m'était fixés au début de ma formation, ET QUE CA FONCTIONNE TRÈS BIEN.
La preuve, j'arrive à faire des TDP sur des terrains dont je n'ai pas approfondi et pas repéré très précisément les points caractéristiques.
Je me disais "pas normal ça ....", et puis vous êtes arrivés avec vos remarques et ça me rassure.
Merci,
Bon, Niels, revenons au sujet : que toutes ces discussions ne t’empêchent pas de faire des vidéos avec instruments ...
Dernière modification par Armand42 (11-05-2015 18:19:31)
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Cependant, pour un pilote privé qui vole entre 10 et 15h par an, je ne trouve pas la méthode "à l'arrache" particulièrement appropriée et certainement pas celle qui faut apprendre au début.
Là on est d'accord... Mais j'estime qu'avec 10 à 15h par an, aucune méthode n'est "safe", sauf à faire des tours de pistes sur terrains et avions connus par CAVOK... Je grossi le trait mais tu vois l'idée.
Et effectivement en école, on donne des "clés" qui marchent presque tout le temps. On ne peut pas demander à un élève avec 10hdv de "sentir" sa machine.
Mais la méthode de calcul du plan, même si je la connais (et qu'elle est facile à mettre en oeuvre dès que le cerveau n'est pas saturé par le pilotage - certains élèves sont déjà pas doué en calcul mental, alors en vol...), je ne l'ai jamais vue en école (sauf IFR). Que ce soit en avion ou en planeur. En planeur on apprend à calculer des plans d'arrivée à 30km, histoire de finir à la VNE ou presque à 0 mètres ou presque sur le terrain, mais sûrement pas à calculer un plan en finale. Idem pour le PPL. Comment fais-tu sur un terrain avec une finale TRES courte et plan non standard ? Sans visualisation du plan ça se complique pas mal...
Quant à "ma" méthode "à l'arrache", figures-toi qu'elle est enseignée en école (et pas que dans une seule) : arrivée rapide. Régime de croisière jusqu'à la hauteur permettant à l'avion de ralentir jusqu'à sa vitesse d'approche avec les volets qu'il faut. On apprend même à la tester sur n'importe quel avion en vol, avant de la mettre en oeuvre en approche, un peu comme on apprend à décrocher l'avion pour pouvoir calculer 1.3Vs pour l'approche.
Sur un DR400 ça fait environ 500ft/sol en finale, sur un Long-Ez il faut couper quasiment en milieu de vent arrière, sur un Super Diamant en fin de base, etc...
Les méthodes dites "classiques" DOIVENT bien entendu être apprises : elles servent de base dès qu'on a un doute, qu'on ne connait pas la machine et qu'on n'a pas pu la tester, etc...
Dernière modification par n666eo (11-05-2015 18:37:13)
T.
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"sur un Long-Ez" c'est quoi ça ?????
Une très chouette machine de Rutan (chuuuttt faut pas le dire à BeeGee, il aime pas les canards - humour) :
Les perfs sont plutôt intéressantes, le pilotage forcément un peu plus fin qu'un DR400 ou un Cessna, mais extrêmement agréable.
T.
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A cannes, je pencherais pour un Piaggio Avanti :
Pas un vrai canard, il triche, il a un stabilisateur à l'arrière aussi...
Dans la même catégorie, il y a le Starship, mais il est nettement moins courant et pas vraiment une réussite :
Sinon dans les légers, Rutan à pondu un certain nombre de canards, notamment le Cosy et le Defiant qui sont plus gros que le Long-Ez.
Moins connus mais qui me font rêver depuis longtemps, les Velocity, mono et twin :
T.
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Antoine a écrit :Cependant, pour un pilote privé qui vole entre 10 et 15h par an, je ne trouve pas la méthode "à l'arrache" particulièrement appropriée et certainement pas celle qui faut apprendre au début.
Là on est d'accord... Mais j'estime qu'avec 10 à 15h par an, aucune méthode n'est "safe", sauf à faire des tours de pistes sur terrains et avions connus par CAVOK... Je grossi le trait mais tu vois l'idée.
C'est l'immense majorité de la population en aéroclub en France. Bien ou pas bien, ce n'est pas la question, c'est ce qu'on a. Et certains font quand même (les fous !) des nav sur des terrains différents...
Mais la méthode de calcul du plan, même si je la connais (et qu'elle est facile à mettre en oeuvre dès que le cerveau n'est pas saturé par le pilotage - certains élèves sont déjà pas doué en calcul mental, alors en vol...), je ne l'ai jamais vue en école (sauf IFR). Que ce soit en avion ou en planeur. En planeur on apprend à calculer des plans d'arrivée à 30km, histoire de finir à la VNE ou presque à 0 mètres ou presque sur le terrain, mais sûrement pas à calculer un plan en finale. Idem pour le PPL. Comment fais-tu sur un terrain avec une finale TRES courte et plan non standard ? Sans visualisation du plan ça se complique pas mal...
Je l'enseigne. C'est sur que sur un TDP basse hauteur ca ne sert à rien. Sur un rectangulaire ou standard dès que tu as 500 ft de finale je trouve que c'est un calcul utile à faire.
Quant à "ma" méthode "à l'arrache", figures-toi qu'elle est enseignée en école (et pas que dans une seule) : arrivée rapide. Régime de croisière jusqu'à la hauteur permettant à l'avion de ralentir jusqu'à sa vitesse d'approche avec les volets qu'il faut. On apprend même à la tester sur n'importe quel avion en vol, avant de la mettre en oeuvre en approche, un peu comme on apprend à décrocher l'avion pour pouvoir calculer 1.3Vs pour l'approche.
Sur un DR400 ça fait environ 500ft/sol en finale, sur un Long-Ez il faut couper quasiment en milieu de vent arrière, sur un Super Diamant en fin de base, etc...
L'arrivée rapide est un "exercice" (j'appelle cela l'approche décélérée en IFR). Ce n'est pas à l'arrache et alors si y'a bien un moment ou calculer le vario idéal pour maintenir le plan est utile c'est dans ces phases de transitions ou l'assiette ne va faire qu'augmenter et gader un point de fin trajectoire constant peut-être compliqué.
Si tu te dis qu'au début de ta finale tu es à 120 kts sol (donc 600 ft/min au vario) et que ta vitesse en finale doit etre de 70 kts (donc 350 ft/min au vario) tu peux monitorer ton augmentation d'assiette. Attention, je ne dis pas de faire cette variation d'assiette en utilisant le vario (ce qui serait très difficile vu le retard de l'appareil). Juste la monitorer => si tu as trop tiré et que tu as 200 ft/min au vario alors que tu es encore à 100 kts/sol ca va passer au dessus...
A+, Antoine
Mon blog : http://blog.arogues.org
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Je n'ai rien à redire en soit Antoine. Mais je trouve la logique un peu "paradoxale". Oui, hélas, l'immense majorité des pilotes loisir moteur en France font rarement plus de 15hdv par an. Du coup, j'aurai tendance a leur faire utiliser une méthode de visualisation du point d'aboutissement, certes plus compliquée à acquérir, mais qui ne "s'oublie" pas. Une méthode de contrôle au vario, pour quelqu'un qui vole 15h par an dont un seul vol avec instructeur le plus souvent, il a, il me semble, de bonnes chances de se planter.
Cela dit je ne suis pas instructeur avion. Mais en planeur, d'expérience, le calcul d'un plan d'arrivée n'est utile qu'à ceux qui volent régulièrement, voir même qui font du circuit régulièrement. Ceux qui n'ont pas la possibilité de voler ou circuiter plus de 20 fois par an se plantent la moitié du temps en calculant leur plan d'arrivée. Pourtant le calcul n'est pas plus compliqué, il est même quasiment identique. Mais le calcul mental quand on est pas habitué à être en l'air est quelque chose de peu fiable.
Du coup, le contrôle du plan au vario sur une arrivée décélérée pour un pilote IFR (qui a de bonnes chances de voler nettement plus qu'un PPL moyen), absolument. Pour un PPL en circuit à vue, j'ai plus de mal avec l'idée... Mais encore une fois, je ne fais pas d'instruction avion.
Intéressante en tout cas cette discussion, même si, désolé Niels, on a bien dérivé du sujet...
T.
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n666eo nous montre le Piaggio Avanti qui n'est pas un canard et le Rutan Beech Starship qui en est un véritable.
Allez donc voir sur le net les perfos des 2 machines, et là il n'y a pas photo, le Starship a été un total échec, une grosse merde il est lourd, ils vole mal, il se traine, il approche vite, en IFR mieux vaut ne pas trop givrer le plan avant, le seul avion révolutionnaire des 2 est l'Avanti, machine très brillante, qui n'a pas connu un grand succès commercial mais pour d'autres raisons (arrivé à ce stade dans cette classe d'avion le client préfère le jet)
Ces deux machines n'ont strictement rien à voir l'une avec l'autre, le canard dans ce genre d'aviation n'apporte rien du tout, sinon tous les avions seraient des canards , y compris les Airbus et Boeing ! Louis Blériot avait vu juste avant tout le monde (Blériot XI de la traversée de la manche)
La formule canard ne reprend de l'intérêt qu'avec les commandes de vol électriques (Rafale, Eurofighter, Saab) et encore ce ne sont pas de véritables canards, dans le sens Rutan du terme.
Enfin en ce qui concerne les pilotes privés ce ne sont pas ceux qui ne volent que 15 h qui sont les plus dangereux, c'est même l'inverse, ceux qui volent 100 heures croient qu'ils peuvent s'affranchir des règles de base et pensent qu'ils sont tellement bons que rien ne peut leur arriver. La toute meilleure attitude pour finir au cimetière.
"On n'est pas des ... quand même !" Serge Papagalli,
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