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Saga Africa 2015
Jour 4 : Jeudi 16 Juillet 2015
FZAA-FNUB-FYWB-FACT
De Kinshasa au Cap via Lubango et Walvis Bay.
Voyage entrepris aux frais d’un énigmatique homme d’affaire, le mystérieux homme à la cravate rouge. Les escales s’enchaînent sur des journées entières de 3 à 4 étapes, avec un stop-over d’une heure 30 minutes à chaque étape. Etape où notre client s’absente pour un tout autant mystérieux rendez-vous express puis ne revient des bureaux de l’aéroport que pour repartir aussitôt ... Voici le compte-rendu de la quatrième journée.
Carte du voyage (Ă©tablie sur le site GreatCircleMapper)
Etape 15: FZAA-FNUB
De Kinshasa Ă Lubango, Angola
Aéroport de Kinshasa-Ndjili. Kinshasa est l’ancienne Léopoldville du Congo Belge ainsi baptisée par l’explorateur anglais Stanley, celui du fameux « Dr Livingstone I presume » en l’honneur du roi des belges de l’époque. Stanley donna aussi son nom au grand lac sur le fleuve Congo, le baptisant Pool Stanley. il s’appelle maintenant le Pool Malebo. Avec près de 12 millions d’habitants, Kinshasa est la 3ème ville la plus peuplée du continent africain après Le Caire et Lagos. Au début du XXème siècle, elle n’abritait que 1 500 habitants, soit 10 000 fois moins qu’aujourd’hui ! Révélateur du boom démographique de l’Afrique ! D’après certaines sources, La langue qui y est parlée par tous est le français. D’après certains, Kinshasa serait même la première ville francophone au monde devant Paris.
Un Dreamliner des Kenya Airways est parqué à côté de nous. Décidément, les Boeing 787 sont légion en Afrique après celui des Ethiopian vu à Dakar.
Il est 6h49 quand nous sommes repoussés de la porte 1. Prêts pour un vol assez long de près de deux heures pour le sud de l’Angola à quelques 1 200 km d’ici. Tiens, le Dreamliner des Kenya Airways cachait un Dreamliner des Ethiopian Airlines … décidément, deux d’un coup!
Décollage de la piste 24. Le grand tarmac qui longe la piste n’existe plus dans l’aéroport actuel de Ndjili. La (relativement) faible température matinale et al proximité du grand lac Pool Malebo expliquent la brume assez dense ce matin.
Nous passons les 4 800 pieds à quelques 8 km de l’aéroport en montée vers 10 000 pieds On distingue bien le Pool Malebo avec la grande île M’bamou qui en occupe la majeure partie.
Sur notre droite, la ville de Kinshasa et, de l’autre côté du fleuve Congo, Brazzaville.
A quelques 190 km de notre point de départ, nous atteignons notre altitude de croisière (FL400).
Nous survolons le fleuve Congo qui, entre son embouchure et le Pool Malebo de Brazzaville Kinshasa, n’est pas navigable mais présente une série de rapides terribles du fait du resserrement de son lit. Imaginez, des rapides sur un fleuve dont le débit atteint les 45 000 m3 par seconde ! C’est l’un des rares fleuves navigables (sur l’amont de Kinshasa) qui ne le soit pas depuis son embouchure. Le Congo est également un fleuve exceptionnel par la profondeur de son lit à cet endroit de son cours. La profondeur peut atteindre 220 m à certains endroits, ce qui ajoute à la force des rapides. Nous sommes presque à la verticale de la ville d’Inga, c’est ici qu’en 1985 Philippe de Dieuleveult et son équipe ont disparu, emportés par la violence des rapides.
Nous prenons un cap au Sud pour longer la côte africaine jusqu’à notre destination. Nous survolons l’embouchure du fleuve Congo. Que ce soit sur la rive nord, République Démocratique du Congo, ou sur la rive sud, Angola, le delta n’est qu’une suite de mangroves.
Depuis FL400, on s’approche de Luanda. Fondée par les Portugais en 1575 autour d’une rade naturelle, la Baie de Luanda, qu’on voit très bien sur cette image.
A la verticale de Luanda, vue vers l’ouest. On suit le Cap 184°, donc plein sud. La langue de terre qui est nettement visible est la péninsule de Mussulo, la lagune qu’elle protège de l’océan est la Bai de Mussulo. On peut y accéder par voiture (des jeeps) ou par bateau au départ de Luanda. Tout le côté à l’océan de la péninsule n’est qu’une plage de sable fin d’une quarantaine de km de long, presque totalement déserte ... y assister au coucher du soleil est un must quand on passe par Luanda.
Nous longeons la côte africaine cap au sud. Nous arrivons à la verticale du port de Benguéla.
A 220 km de notre destination, nous entamons notre descente en passant sous les 39,000 pieds en descente vers FL290. On distingue la rivière Coporolo, une rivière intermittente dont les crues sont rares mais très dangereuses.
Nous passons les 12 000 pieds à une cinquantaine de km de notre destination. Le paysage devient très particulier. Au fond, à droite, on distingue les steppes désertiques de la province angolaise du Cunene et, au-delà , les sables du désert de Namibie. A gauche, on distingue les falaises abruptes et alignées au cordeau qui forment les contreforts du haut plateau de la Huila sur lequel se trouve Lubango.
Nous passons sous les 10 000 pieds, en descente vers 9 100 pieds. Nous entrons dans l’étape de base de la piste 10. Nous quittons les basses-terres angolaises pour survoler le plateau de Huila. Les falaises sont impressionnantes et font plusieurs centaines de mètres de haut.
Approche de la piste 10. Nous survolons la ville de Lubango. L’approche est visuelle et ne peut pas être directe du fait de la présence d’un ensemble de collines escarpées sur le chemin.
En finale courte. Nous sommes dans l’axe mais à un taux de descente trop rapide (- 1100 fpm) et nous arrivons un peu vite (135 nœuds).
Arrivé à l’aéroport de Lubango-Mukanka et parqué sur l’herbe près de la tour de contrôle après un vol d’une heure trois-quarts depuis Kinshasa. Notre client se prépare pour son premier RDV de la journée, on en a pour une bonne heure et demie avant de repartir pour l’étape suivante.
FZAA-FNUB
Date 16.07.2015
Identification Five-Lima-Juliet
Appareil Learjet 24B
ROUTE FZAA-KSA-FZAG-IMLEX-LD-VNA-EXALA-LIRAM-BG-VUB-FNUB
Temps de Vol 01:45
Altitude FL400
TAS Moyen 444 kts
GS Moyen kts
V rotation 182 kts
V toucher 124 kts
VS toucher -237 fpm
Bloc-DĂ©part 06:49
DĂ©collage 07:00 Rwy 24
Atterrissage 07:45 (LCT) Rwy 10
Bloc-arrĂŞt 07:48
Distance (Réelle/Planifiée) 778/759 NM
Rapports METAR
ORIGINE FZAA 161047Z 33006KT 4000 HZ SKC 24/17 Q1015 NOSIG
DESTINATION FNUB 161500Z 30006KT 9999 FEW015 OVC020 22/16 Q1014
Plan de vol. Vert, prévu; rouge, réalisé.
Vents Ă FL400 (information du site windyty.com)
Etape 16: FNUB-FYWB
De Lubango Ă Walvis Bay, Namibie
Aéroport de Lubango, 9h20, nous sommes alignés sur la piste pour un départ à destination de Walvis Bay en Namibie. C’est de nouveau une assez longue étape de 900 km. C’est la deuxième étape du jour, la seizième de notre voyage.
Décollage avec vue sur Lubango derrière nous.
Nous passons 13 000 pieds en montée vers 17 000 pieds à 15 km au sud de Lubango. On vient de tourner vers le Sud. On distingue le sommet des falaises qui forment le contour du haut-plateau de Huila sur lequel se trouve Lubango.
Altitude de croisière (FL400) atteinte à la verticale de Cahama en Angola, à quelques 180 km au sud de Lubango.
Nous suivons un cap au sud parallèle à la côte qu’on devine à 250 km à l’ouest de notre position. Nous sommes entrés dans l’espace aérien de la Namibie. En dessous, c’est de plus en plus désertique.
Toujours à FL400 et cap au sud, on aperçoit à l’est une vaste étendue d’eau. Il s’agit de l’Etosha Pan, qui, en saison humide, est une vaste mer intérieure très peu profonde d’environ 4 800 km2, et, en saison sèche, un vaste désert de sel. Tellement vaste que cette tache blanche se voit de l’espace. On est déjà dans le Bassin du Kalahari là -bas.
Nous sommes à 90 km de notre destination. Nous venons de passer sous les 19 300 pieds en descente vers 10 000 pieds. On aperçoit à l’horizon deux taches verdoyantes sur le fond du désert Namibien et sur le bleu de l’Océan Atlantique. La première est la ville de Swakopmund et la seconde, plus distante, est Walvis Bay avec la péninsule de sable d’Erongo qui se referme sur la Walvisbaai (la Baie des baleines). Les deux villes ne sont distantes que d’une petite trentaine de km.
Soixante km de Walvis Bay et nous sommes à 13 000 pieds et on descend pour 4 000 pieds. J’utilise les aérofreins pour pouvoir descendre plus vite sans prendre de vitesse. Ils sont très efficaces sur cet avion.
En finale courte pour une approche visuelle de la piste 27. A moins de 200 pieds du sol : 125 nœuds (correct), vario à -500 -600 fpm (correct), dans l’axe avec une blanche et une rouge (correct) … on continue!
Arrivé à l’aéroport de Walvis Bay, parqué au poste 2 après un vol d’une heure un quart environdepuis Lubango. Nous sommes passés du sud de l’Angola au sud de la Namibie. Notre client se prépare pour son RDV, une voiture s’approche.
FNUB-FYWB
Date 16.07.2015
Identification Five-Lima-Juliet
Appareil Learjet 24B
ROUTE FNUB-VUB-FN17-RC-FYKJ-US-FYWB
Temps de Vol 01:14
Altitude FL400
TAS Moyen 413 kts
GS Moyen kts
V rotation 160 kts
V toucher 112 kts
VS toucher -310 fpm
Bloc-DĂ©part 09:25
DĂ©collage 09:28 Rwy 10
Atterrissage 10:42 Rwy 27
Bloc-arrĂŞt 10:44
Distance (Attendue/RĂ©elle) 509/500 NM
Rapports METAR
ORIGINE FNUB 051500Z 13012KT CAVOK 26/M02 Q1024
DESTINATION Not available (FYWB)
Plan de vol. Vert, prévu; rouge, réalisé.
Vents Ă FL400 (information du site windyty.com)
Voir image du vol précédent
Etape 17: FYWB-FACT
De Walvis Bay au Cap, Afrique du Sud
Aéroport de Walvis Bay, poste 2, 12h15, nous sommes prêts pour un vol direct pour Le Cap (Cape Town). C’est de nouveau une longue étape de près de 1 300 km. C’est la troisième étape du jour, la 17ème de notre voyage. Nous rejoignons le point le plus méridional de ce tour d’Afrique. Avec un peu de chance, on verra le cap de Bonne-Espérance. Nous sommes garés près d’un Beechcraft 1900D d’Air Namibia. ces bimoteurs sont progressivement remplacés par des biréacteurs Embraer ERJ-135.
On passe 5 000 pieds en montée vers 13 000 pieds avec un cap au 155°. Derrière nous, le panorama de Walvis Bay et de sa baie.
Nous sommes à notre altitude de croisière (FL390). En dessous, le désert du Namib s’étend à perte de vue de toutes parts. … ça vaut le Sahara et rappelle l’étape Mauritanienne. Nous survolons le Parc National de Sperrgebiet. C’est un parc de protection d’animaux du désert et de plantes uniquement trouvées là . C’est aussi un lieu touristique pour la visite de nombreuses villes fantômes construites à la fin du 19ème siècle pour l’exploitation diamantifère. L’isolement de cet endroit fait que dans certaines de ces villes fantômes, le vent dégage progressivement les corps enterrés dans le cimetière et les momifie donnant des visions bien macabres. Cet endroit est une destination prisée de certains gothiques ; on comprend pourquoi !
Toujours à FL390, on aperçoit un long ruban bleu, c’est le fleuve Orange qui trace la frontière entre la Namibie et l’Afrique du Sud. Le petit aérodrome qu’on voit est privé, c’est celui de la compagnie minière locale.
On approche du fleuve Orange, réduit ici à un mince filet d’eau qui s’étale en une embouchure conséquente. La rive nord est namibienne, la sud est sud-africaine. Ceux de la rive sud appelel le fleuve : le fleuve Orange (que nous connaissons tous). Ceux de la rive nord l’appellent le Gariep (qui veut dire fleuve en dialecte local). On aperçoit deux aéroports, deux taches vertes et une tache bleue. Les deux taches vertes sont deux villes : Alexander Bay la sud-africaine à gauche et Oranjemund la Namibienne à droite. La tache bleue est un lac artificiel construit par la compagnie De Beers pour ses employés, il y a là un complexe de loisirs unique en Namibie : un country club, des restaurants, des bars. L’eau est même fournie aux habitants quasiment gratuitement, un cas d’espèce en plein désert. L’aéroport de gauche (le plus grand) est celui d’Alexander Bay, la ville sud-africaine qui est sur la rive sud. L’autre, plus petit et ne disposant que d’une piste est celui d’Oranjemund, la ville Namibienne de De Beers.
Nous venons juste de commencer notre approche du Cap, nous passons FL370 en descente vers FL270. Nous sommes à 200 km de notre destination. Nous longeons la côte sud-africaine, une plaine côtière très fertile limitée sur sa bordure Est par la chaîne montagneuse du Cederberg. Devant nous la péninsule du Western Cap qui aboutit à une vaste anse occupée à son extrémité méridionale par la Baie de la Table sur laquelle donne la ville du Cap.
En suivant un cap au sud (190°), nous atteignons les 25 000 pieds. Nous passons à la verticale de Langebaanweg, un important centre minier, et le lieu de la Base Aérienne de Langebaanweg (code FALW) qu’on voit juste devant nous sur notre gauche. Cette base abrite la Central Flying School of South African Air Force. On distingue dans le lointain, la péninsule du Cap avec la très fameuse Montagne de la Table.
Vue de la ville du Cap et ses montagnes typiques depuis le poste. Juste sur notre gauche, au premier plan, la colline de Signal Hill qui aboutit au sommet de Lion’s Head (669 m). Puis derrière, le Devil’s Peak (de très exactement 1 000 m tout juste) qui devance la Montagne de la Table (Table Mountain) et son plateau typique d’environ 3 km sur 3 km à une altitude moyenne de 1 080 m. Nous sommes à 9 600 pieds, en descente vers 5 000 pieds. le contrôle nous fait atterrir sur la piste 01. Quelle chance, car cette approche va nous faire remonter cap au Sud toute la péninsule puis bifurquer vers l’Est au niveau du Cap de Bonne-Espérance, à une quarantaine de km d’ici, et faire le dernier virage pour prendre la direction du Nord vers la piste 01 en passant au-dessus de False Bay. C’est vraiment une approche rare.
Du même endroit, une belle vue sue la baie du Cap, son port et la skyline de la ville avec quelques gratte-ciels. On devine dans le lointain la chaîne des Hottentots Holland Mountains qui sépare la plaine du Cap de l’Overberg.
En pallier à 5 000 pieds, on prend le cap au 133° pour sortir de l’étape de vent arrière et rejoindre l’étape de base. Vue vers le Nord et la Montagne de la Table par son flanc Sud. Nous passons à la verticale d’un plateau nommé Klipfontein. Nous sommes à 35 km au sud-ouest de la piste 01 et à 15 km au nord du Cap de Bonne-Espérance.
Nous sommes en étape de base à 5 000 pieds, avec une belle vue sur le Cap de Bonne-Espérance. Nous avons atteint le point le plus méridional de notre périple africain (Lat. 34°16’59’’S).
Dans le dernier virage pour la piste 01, nous passons au-dessus des eaux de False Bay. Sur notre gauche, la Montagne de la Table et, nettement découpé sur le ciel, Devil’s Peak.
A quelques secondes du toucher. Dans l’axe (merci l’ILS), à 120 nœuds (très bien) et en descente à un peu moins de 500 pieds par min (très bien). On continue!
Scenery : NMG – FACT - CAPE TOWN INTERNATIONAL AIRPORT FSX 2014
Roulage pour le poste de stationnement où notre avion va passer la nuit. Nous longeons le terminal. Un vénérable Boeing 727de la low-cost sud-africaine Safair a atterri juste derrière nous et part vers l’apron Sud. Nous, nous sommes assez curieusement dirigé vers l’apron Fret !?
Parqué en porte FowTrot-1 après un vol de près d’une heure trois-quarts depuis Walvis Bay à quelques 1 300 km d’ici. Il est 15h15 et nous avons donc quartiers libres au Cap jusqu’à demain matin.
Arrivée à FACT Carte Jeppesen
FYWB-FACT
Date 16.07.2015
Identification Five-Lima-Juliet
Appareil Learjet 24B
ROUTE FYWB-WBV-ANSUX-FYLZ-FYSA-ABV-TIBIS-FAKZ-EPNAD-FALW-CTV-FACT
Temps de Vol 01:43
Altitude FL390
TAS Moyen 439 kts
GS Moyen kts
V rotation 180 kts
V toucher 95 kts
VS toucher -98 fpm
Bloc-DĂ©part 12:18
DĂ©collage 12:27 Rwy 27
Atterrissage 15:10 Rwy 01
Bloc-arrĂŞt 15:15
Distance (Attendue/RĂ©elle) 760/741 NM
Rapports METAR
ORIGINE FYWB 161000Z 31005KT CAVOK 24/09 Q1017
DESTINATION FACT 161400Z 31008KT CAVOK 26/07 Q1016 NOSIG
Plan de vol. Vert, prévu; rouge, réalisé.
Vents Ă FL390 (information du site windyty.com)
Merci beaucoup de votre attention. A très bientôt.
Très bons vols à tou(te)s
Philippe
ouaf ouaf ! bon toutou !!
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Encore une belle et intéressante étape. Tu avances plus vite que moi...
Pilote virtuel FSX/Air Hauler - Condor Soaring.
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Merci Corsaire,
Ah c'est peut-ĂŞtre parce que je suis en jet?=D
Philippe
ouaf ouaf ! bon toutou !!
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j'étais passé à côté: honte à moi !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
cordialement
"Si l'homme des cavernes avait su rire, le cours de l'histoire eut été changé" Oscar Wilde
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Eh, Daniel, tu n'aurais pas du rater ce post : Philou s'est posé à FYWB où je me suis posé aujourd'hui
http://www.pilote-virtuel.com/viewtopic.php?pid=826879#p826879
J'ai d'ailleurs retrouvé ça par terre :
Et quand je disais que c'était le désert .... même avec Philou y'a rien :
Dernière modification par Armand42 (31-07-2016 21:24:52)
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pour ma pénitence et repentance je vais décoller de FYWB bisous
cordialement
"Si l'homme des cavernes avait su rire, le cours de l'histoire eut été changé" Oscar Wilde
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Non rien de rien ... Nooooooooooooooooon je ne regrette rieeeeeeeeeeeeennnnnnnnnnnnnn ...
Ah la cravate n'est pas Ă moi, mon client batifolerait-il une fois Ă terre ???????????????????
Philippe
ouaf ouaf ! bon toutou !!
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Et quand je disais que c'était le désert .... même avec Philou y'a rien :
Et pourtant, Armand, j'ai l’œil pour dénicher quelque chose en général (pas toujours hélas comme me le faisait remarquer récemment ma femme) ... mais, là , en effet, y'avait rien en-dessous ... que du sable !!!
Un autre "désert" mais plein d'arbres et de fougères et, accessoirement, de tigres, c’est la Sibérie Orientale. J'y ai déniché le monument à Dersou Ouzala (vous vous rappelez ce film ?? bon je parle pas aux jeunots là ), il est dans les montagnes de la chaîne côtière de la Province Maritime Russe (capitale Vladivostok) - les Russes ne considèrent pas la Baltique comme une vraie mer, la seule mer qui baigne leurs côtes et qui a de l'importance à leurs yeux c'est le Pacifique).
La pierre mémoriale pour Ouzala dans la ville de Korfovsky
Bons vols Ă vous tous!
Philippe
Dernière modification par philouplaine (02-08-2016 10:55:36)
ouaf ouaf ! bon toutou !!
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