#1 [↑][↓] 22-07-2019 08:44:01

philouplaine
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[Réel] ArchéoAéro - 1936 Le film Atlantique Sud

Bonjour cher(e)s ami(e)s,

Avant-guerre, Air France a financé des films reportage sur ses grandes lignes, les lignes impériales.
Le texte que je vous propose est le compte-rendu détaillé du film Atlantique Sud des studios Gaumont, réalisé par Félix Forestier et qui était un reportage montrant au grand public le voyage des sacs de courrier depuis Le Bourget jusqu’à Santiago du Chili. Les photos sont celles illustrant l’article de la revue d’Air France.
On peut lire, dans les archives, que ce film est typique de ce cadrage et de cette luminosité si particulière du cinéma français des années 1930. Ce film-reportage est décrit comme être très beau et intéressant.
En attendant de le voir u jour peut-ĂŞtre, je vous propose le texte publiĂ© par Air France dans sa revue de dĂ©cembre 1936 distribuĂ©e aux passagers (on est jamais si bien  ervi que par soi-mĂŞme).

Bonne lecture
Philippe




Article paru dans la revue d’Air France de décembre 1936


Un grand film d’aviation : Atlantique Sud
Du Pas-de-Calais à l’Atlantique-Sud
Par Pierre Michaut, Ecrivain

Avec le programme des "liaisons aériennes 100 %", la durée du trajet postal de Paris à Buenos-Aires est à présent de 3 jours, et la ligne, par-delà les Andes, se continue jusqu’à Santiago de Chili... Peu d’années, quand on y songe, ont suffi pour porter l’aéronautique au degré de perfectionnement, de puissance et de sécurité, pour développe aussi la science da la navigation des pilotes de l’air et leur audace, afin de permettre la réussite régulière de telles randonnées !



Le voyage type que nous présente le film : Atlantique-Sud est celui du Santos Dumont, mis en service en 1934. Or cet appareil, le Blériot 519, sort des ateliers Louis Blériot, comme le Blériot XI de 1909 avec lequel le génial pionnier des grandes lignes transcontinentales, il y a vingt-sept ans, franchit les 38 km du Pas-de-Calais. Une brève fraction de la vie d’un homme – à peine un quart de siècle – a suffi pour assurer ce développement prodigieux !

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BlĂ©riot 5190 (et non pas 519 comme Ă©crit dans le texte)  F-ANLE Santos-Dumont

Les grands navigateurs de l’Antiquité, Ulysse, Enée, Jason, inspirèrent les épopées lyriques de l’Odyssée, de l’Enéide, des Argonautes ... De leurs modernes émules aériens, nous faisons des films ; l’image animée, par sa puissance évocatrice singulière, fait de chacun de nous leurs compagnons de route. Nous sommes auprès d’eux ; nous sommes des témoins autant que des spectateurs. Ne voyons-nous pas leur visage, la lueur de leur regard, le pli de leur front s’ils s’inquiètent, et leur sourire quand ils atteignent le but fixé ? Et el film diffusé en tous pays, porte partout leur nom et leur gloire.


LE DEPART


Atlantique-Sud relate la longue course de relais de 100 heures qui, chaque semaine, dans l’un et l’autre sens, s’accomplit sur près de 13 000 km entre Paris et Buenos-Aires et Santiago du Chili. D’abord le départ du Bourget, le dimanche, chaque dimanche. De tous les pays d’Europe, le courrier pour l’Amérique australe est venus e rassembler ; ces opérations sont évoquées en quelques surimpressions excellentes, très significatives. Dès ces premières images, on comprend qu’on a affaire à une œuvre cinématographique de grande classe. Comme toujours, sur un terrain d’aviation, une stricte discipline règle toutes les manœuvres : ici rien ne s’improvise, tout est prévu, réglé, méthodiquement exécuté. Quelques commandements enfin ; le Wibault roule quelques mètres, prend l’air et s’enfonce tout de suite dans la nuit. C’est le départ de la première étape.


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AU-DESSUS DE LA MAURITANIE


Du grand voyage qui survole trois continents, la MĂ©diterranĂ©e, un OcĂ©an, les Andes, le spectateur du film retient surtout quelques passages, qui Ă©veillent dans l’âme une Ă©motion plus profonde. Après les rapides escales de Toulouse, de Barcelone et de Casablanca, voici l’étape des deux mille km, au-dessus de la Mauritanie, redoutable Ă  l  fois pas son sol dessĂ©chĂ© et par ses habitants, pillards farouches et irrĂ©ductibles. Nous suivons une cĂ´te droite, dont les rares points saillants portent des noms Ă©vocateurs des prouesses, et parfois aussi, du sacrifice hĂ©roĂŻque des premiers pionniers de la ligne : Cap LĂ©crivain, Baie Reine-et-Serre, Cap Mermoz... L’itinĂ©raire se trace sous nos yeux sur les cartes cĂ´tières spĂ©ciales, assez semblable Ă  des cartes marines simplifiĂ©es, rĂ©duites au seul profit du littoral et portant, comme les plans directeurs, un quadrillage dont chaque carrĂ© est numĂ©rotĂ©.



À DAKAR, À MINUIT


Le spectateur retiendra surtout l’envol, à minuit, du Santos-Dumont dans l’hydroport de Dakar. Le plein d’essence, 12 000 litres tout de même, est déjà fait, et els quintaux de courrier annoncés sont embarqués par des porteurs noirs. Pour nous présenter l’équipage, l’opérateur s’est placé avec sa caméra au-dessous de la passerelle de conduite. Voici Léon Givon, 17 traversées de l’Atlantique Sud, commandant ; puis Jean Ponce (21 traversées), second pilote ; Comet, le navigateur ; Néry, le radio ; Richard, le mécanicien de bord. C’est l’équipage, 5 personnes. C’est aussi une équipe. En entrant dans la coque, chacun perd son nom et prend son rang. Il y a le Commandant ... tout de suite, il s’installe au poste de pilotage. C’est à lui qu’incombera la manœuvre du départ, le décollage de cette machine de 23 tonnes et la mise sous le cap. Il y a le second pilote, durant cette manœuvre il prend sa première pause. Le commandant et lui se relaieront ainsi d’heure en heure, durant les seize heures de ce vol transatlantique. Cet équipage, étranger à l’écran, évolue devant la caméra avec un sûreté, une aisance, un naturel parfaits.


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Le trajet et l’équipage de pilotage, le commandant Givon (à droite) et le copilote Ponce.

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L’ENVOL DU SANTOS-DUMONT


Deux heures, c’est le moment du départ. La nuit est assez lumineuse pour donner, à l’écran, des vues assez nettes et très belles que la pâle lumière nocturne colore de reflets et d’ombres comme l’évocation d’une grandiose scène mythologique. En dépit de l’accent voulu de simplicité, du ton sobre et discret de la narration filmée, ce n’est pas sans émotion que le public voit l’avion s’élancer au-dessus de la mer, en un décollage impeccable, et prendre le cap vers l’ouest, tandis que s’apaisent, dans la clarté argentée de la nuit tropicale, les sillages de ses flotteurs.

Tout de suite, pour cette traversée de seize heures, la vie s’est organisée à bord, dans une atmosphère de calme et de maîtrise. L’on évite d’ailleurs d’abuser des scènes familières, de vues d’hommes mangeant ou dormant. On se borne à une indication succincte qui suffit en effet. Montrées dans certains films avec trop de complaisance, elles rabaissent le ton du récit et brisent la courbe de l’intérêt qui, ici, est magnifiquement soutenu. Les aspects des locaux du bord, des postes du bâtiment aérien, évoquent ceux d’un navire, d’un sous-marin ... Même nudité des parois, même exiguïté aussi, et même ordre minutieux, même adaptation des formes et des emplacements de chaque chose à son objet précis et prévu.


LA LIAISON ET LE POINT


L’aube du lundi se lève sur la mer ; déjà la terre a depuis longtemps disparu. Nous assistons alors au relèvement de la position par radio-géométrie. Le système de liaison qui relie, à tous moments, l’avion avec les stations terrestres est expliqué, grâce à un croquis qui se reporte ensuite sur une carte, et le trait qui prolonge jusqu’à Paris indique que le Service du Mouvement, au siège central d’Air France, suit régulièrement la marche de ses appareils au-dessus de l’océan.

Avec le Commandant, nous effectuons la première ronde générale. Une très belle vue, dont l’enregistrement, peut-être, fut une prouesse de sang-froid, montre l’un des moteurs, dont les douze cylindres en V se profilent en une perspective saisissante sur un gros nuage qui monte dans le ciel. Et la pulsation saccadée des têtes de soupapes suffit à évoquer le rythme de la vie mécanique que l’homme a su donner à la machine.


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L’ESPACE, LA MACHINE ET L’HOMME

Mais bien vite, l’opérateur jette un coup d’œil au dehors, et il nous montre l’immense étendue de la mer qu’une brise légère irise et le ciel où courent quelques nuages. Il sait bien, sans doute, quelle sensation oppressante créent, à l’écran, les espaces clos, trop resserrés. Et surtout, le vrai sujet du film n’est pas tellement le fonctionnement de l’appareil. Un documentaire de machines, quel que soit l’habileté qu’on déploie pour varier les angles de prises de vue, jouer avec les reflets de la lumière, lasse toujours très vite. Ce qui est émouvant, ici, c’est le contraste entre l’appareil et l’immensité qui l’entoure.


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Que sont en effet, ces 23 tonnes et ces 43 mètres d’envergure dans le ciel de l’Atlantique ? C’est bien là ce qu’il fallait montrer. Ainsi compris, de tels reportages peuvent être aussi prenants que les drames les plus tendus. M. Forestier a su comprendre cette loi de l’intérêt humain. Bien loin de trop grandir la machine et d’en écraser l’homme, il a su, au contraire, montrer toujours l’homme créateur et maître de la machine.


FONÇANT DANS LE POT-AU-NOIR


Vers la septième heure, le ciel se charge de nuages, nous approchons de la partie la plus périlleuse du voyage : le Pot-au-Noir, une zone permanente et mobile de perturbations, sorte de bouchon de brumes, de pluie, de crasse. La mer elle-même, au-dessous de l’appareil, se creuse et se soulève en lames énormes. L’avion fonce alors en aveugle. Ce seront trois heures de pilotage sans visibilité, sans repères extérieurs, les yeux rivés sur les appareils de bord. Puis, la course se poursuit, durant des heures encore, vers la côte brésilienne. Fernando de Norhona, que nous survolons, annonce enfin la prochaine arrivée, tandis que devant nous le soleil du premier jour commence à s’abaisser sur l’horizon.


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La côte enfin apparaît, devancée par les appels et les messages de la radio de Natal, envoyant des renseignements sur les vents et sur le temps. L’avion descend vers le bassin de l’hydrobase, et il amérit dans les gerbes triomphales soulevées par ses flotteurs. Il est 5 heures, la marche a été parfaitement régulière et conforme à l’horaire fixé.


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Déjà un canot automobile accoste, et tandis que les sacs de courrier sont transbordés, le mécanicien dresse à l’avant de la coque un mât portant les couleurs du Brésil et de la France, avec le pavillon d’Air France à l’Hippocampe ailé. Le rôle du Santos-Dumont est terminé, la troisième étape appartient au Laté-28.



NATAL, RIO DE JANEIRO, BUENOS-AYRES


Tandis que le crépuscule tombe, le courrier reprend immédiatement sa route vers le sud, en vol de nuit. L’aurore du mardi se lève à peu près au moment où apparaît le grand Christ qui annonce Rio de Janeiro. Ici, un Bréguet trimoteur relaie le Laté-28 et poursuit au-dessus d’une grève étroite, serrée entre la forêt et l’océan. Peu après Montevidéo, voici Buenos-Ayres. La ville superbe se dessine, tandis que nous la dépassons toute entière pour nous poser sur l’aérodrome. Elle offre à notre admiration ses aspects très variés, ses blocs géométriques, ses parcs vastes et bien dessinés, et sa proche campagne coupée de bosquets verdoyants, de cours d’eau et de lacs, parmi lesquels se découvrent de luxueuses habitations.

Le courrier d’Europe est déposé à 21 heures ; l’avion repart à l’instant, et tournant à angle droit, il se dirige cette fois en plein continent, vers Mendoza, avant-dernière étape du voyage, capitale d’une province d’élevage , de pampas.


PAR-DESSUS LES ANDES


Là, se produit le cinquième changement d’appareil, le cinquième transbordement du courrier. Les sacs destinés au Chili sont portés cette fois dans un avion léger, monomoteur et monoplace. C’est qu’il va falloir survoler les Andes, dont les sommets s’élèvent à plus de 7 000 mètres. Tandis que l’avion s’élève au-devant et comme à l’assaut de la montagne, la température s’abaisse rapidement : à 1 000 mètres, elle est à zéro degré ; à 4 800 mètres, elle est de -10 degrés ; à 6 100 mètres, elle est de -20 degrés... Il faut monter plus haut encore ; les vues prises dans ces immenses solitudes évoquent ce froid et le silence. La netteté de l’air trace sur les champs de neige de grandes zones d’ombre noires aux arêtes précises ; les rocs font sur le blanc scintillement des taches qui ressemblent à des déchirures. D’immenses perspectives de sommets, de ravins, de glaciers, de crêtes déchiquetées, se dessinent au-dessous de nous et se prolongent au loin en un chaos inouï.


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L’homme solitaire qui domine ce monde désolé, c’est Marcel Reine. L’avion monte toujours ; il atteint enfin son plafond : 6 700 mètres. Mais ce n’est pas assez, les sommets, devant lui, sont à 7 200 mètres. Ne pouvant les survoler, il doit les contourner. Il s’engage dans les déchirures de la ligne de crêtes, dans des gorges, le thermomètre marque -25 degrés. Il passe en dépit des dépressions soudaines, des coups d’air, des rafales, des brusques averses, des paquets de nuage que le vent apporte et emporte tout aussi soudainement. La musique écrite pour ce passage du film mêle aux sifflements du vent, quelques accents héroïques. Puis la descente commence, les ravins s’ouvrent davantage, les vallées se dessinent, le paysage s’apaise. Un grand Christ, encore, annonce de loin Santiago du Chili. C’est le Pacifique, la fin du voyage.

Quelques surimpressions rappellent le motif par lequel le film s’est ouvert. Tandis que le commentateur résume en quelques mots les données de l’extraordinaire traversée aérienne accomplie, des lettres et des cartes postales, ruissellent devant l’objectif. Elles vont être portées en hâte à ceux qui les attendent ; elles viennent de tous les pays d’Europe ; nous reconnaissons les timbres postaux. Elles atteignent le rivage du Pacifique 100 heures après que le Wibault les eut prises à son bord au Bourget. 100 heures, 4 jours.


Du Potez-25 au Potez-62 pour le passage des Andes.

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Le film s’achève par le rappel des premiers exploits des pionniers de la ligne transatlantique et transandienne. HĂ©ros de l’épopĂ©e de la grande navigation aĂ©rienne moderne. Mermoz qui fit en 1930 la première traversĂ©e  sur un LatĂ©-28. Le commandant Bonnot sur la Croix –du-Sud, hydravion LatĂ©coère en 1934. Bossoutrot et Givon sur le Santos-Dumont...


L’ART DU CINEASTE


La photographie du film est due à M. Forestier, opérateur d’actualités à France-Actualités ; elle est toujours d’une très belle qualité, précise et très lumineuse. L’opérateur, avec une discrétion qui répond à son intelligence, s’est entièrement effacé devant son œuvre. Et cet effacement doit lui être compté au nombre des meilleurs titres à nos éloges. ÀA cette modestie répond un vif respect pour son métier, une habileté remarquable, beaucoup de goût aussi. Il imagine pour chaque atterrissage, pour chaque décollage, des façons différentes de prendre l’appareil.

Non moins attachantes et belles, sont les vues de la machine elle-même : effets de perspectives des ailes, raccourcis de la coque de l’hydravion géant, vues plongeantes, et ces plans des moteurs, des hélices, des engins de bord. Compas navigraphe Le Prieur et instruments de vol sans visibilité, les horizons Sperry et Directional-Cyro. Et aussi les cartes aériennes, avec leur quadrillage, dessinant en festons les côtes sinueuses survolées, qui composent des effets artistiques tout à fait inédits et dont le cinéaste a su tirer parti remarquablement.


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Une partition musicale intéressante, dont plusieurs pages sont signées de M. Marcel Delannoy, le fameux compositeur, accompagne le déroulement du film, écrite avec habileté, fondée principalement sur l’imitation des bruits mécaniques, du vent, des vagues, mêlés lorsqu’on survole telle étape du voyage de musiques et d’airs locaux : Alicante, Dakar, sont ainsi évoqués de façon à la fois amusante et suggestive. On reconnait au Brésil les rythmes des Fados portugais, en Argentine les tangos.

Le montage du film mériterait une étude à part pour ses qualités exceptionnelles de vivacité et son style nerveux, son animation soutenue, sa brièveté élégante. On ne trouve nulle longueur dans le déroulement des étapes successives, malgré que les heures doivent souvent, pour les passagers, être bien lentes à s’écouler.

(...)


LE DRAPEAU


A la fin du film, comme un coup de clairon, qui fouette les nerfs et qui porte au comble l’émotion, l’écran se couvre d’un drapeau tricolore flottant, aux vives couleurs éclatantes. les acclamations qui saluent l’emblème de la France s’adressent avec un égal enthousiasme à la grandiose réalisation des ailes françaises et à ceux qui en ont été les ouvriers, aussi bien qu’aux auteurs de ce magnifique reportage filmé : Atlantique-Sud.


ouaf ouaf ! bon toutou !!

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#2 [↑][↓] 22-07-2019 10:47:34

cro
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Re : [RĂ©el] ArchĂ©oAĂ©ro - 1936 Le film Atlantique Sud

Merci,


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#3 [↑][↓] 22-07-2019 10:58:48

NEPTUNE6P2V7
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RenommĂ©e :   116 

Re : [RĂ©el] ArchĂ©oAĂ©ro - 1936 Le film Atlantique Sud

A oui merci encore pour ces perles de la malle du grenier ...

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#4 [↑][↓] 22-07-2019 11:11:38

philouplaine
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Lieu : Toulouse
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RenommĂ©e :   69 

Re : [RĂ©el] ArchĂ©oAĂ©ro - 1936 Le film Atlantique Sud

"Les perles de la malle du grenier"
C'est bien mieux que ArchéoAéro
merci beaucoup à vous deux ... je prépare une suite, plsu dense, sur cette fameuse ligne de l'Atlantique Sud...
Philippe


ouaf ouaf ! bon toutou !!

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#5 [↑][↓] 22-07-2019 17:23:21

PAPY DANIEL
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Inscription : 22-03-2011

Re : [RĂ©el] ArchĂ©oAĂ©ro - 1936 Le film Atlantique Sud

Merci du partage
C'est important ces piqures de rappel pour voir d'oĂą on vient et ceux qu'ils ont fait.............
bisous


cordialement
"Si l'homme des cavernes avait su rire, le cours de l'histoire eut été changé" Oscar Wilde

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#6 [↑][↓] 22-07-2019 18:23:49

bricedesmaures
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Inscription : 02-12-2015

Re : [RĂ©el] ArchĂ©oAĂ©ro - 1936 Le film Atlantique Sud

Merci pour ce reportage.

Pour le fonds de bibliothèque, la revue Icare a de bons numéros dont celui ci, numéro 194.

https://revueicare.com/

Dernière modification par bricedesmaures (22-07-2019 18:25:13)


L'expérience, c'est le nom que chacun donne à ses erreurs. Oscar Wilde

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#7 [↑][↓] 22-07-2019 18:59:07

Magnum
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Lieu : Marbella
Inscription : 29-01-2012
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Re : [RĂ©el] ArchĂ©oAĂ©ro - 1936 Le film Atlantique Sud

Merci pour ce post qui remet en place les souvenirs estompés garder au fond du disque dur de mon cerveau. eusa_clap


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