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Est ce que les deux avions ont été compilés avec la même update du SDK ?
Car le 3400 est sorti il y a plusieurs mois déjà et l'écriture du flight_model.cfg me semble différente.
Est ce que cela peut venir de là ?
Dernière modification par Barnstormer (12-05-2023 16:25:58)
Simu VR VARJO AERO, i5 13600K, RTX4070Ti Super 16Go, 32Giga ddr4, SSD 2To, HDD 14To
Plateforme DOFreality Hero 2/FFB Moza/Buttkicker/SimHaptic/SRS "Hurricane" Power Wind kit
Principalement ... Je ne sais plus mais en VR !
Pilote ppl avion/p. train classique/p. avion ancien/p. voltige 1/2 cycle/p. planeur/p. ULM .
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Cela peut mais je penche plus vers un ou plusieurs paramètres des aircrafts.cfg (FSX/P3D) qui auraient été mal transférés à partir de MSFSLegacyImporter vers les CFG de MSFS.
Là , j'ai un pépin avec un des vieux disques durs (celui qui contenait Addon Scenery et P3D_Extern soit plus de 600 Go) qui semble avoir des vagues à l'âme (partition disparue soudainement).
Je viens de récupérer la partition (Testdisk.exe) mais je préfère sauvegardes toutes ces données illico sur deux disques (500 Go) de portable que j'ai en stock: cela va me prendre un temps certain !
Donc pour l'instant, je préfère bétonner mes transferts et ne pas jouer à la roulette russe:8
@+ Didier
W10 Pro 64b Build 22H2 - Boitier HAF 932 - Z390 STRIX-F - 9900K - 2x16 Go - NVidia 3060 Ti 8 Go - Alim Corsair 800W - Ecran 34" - NVidia Studio ready 536.23
P3D v5.4 = http://www.pilote-virtuel.com/img/members/53/P3Dv5HF-Reglages-A.jpg - MSFS Deluxe/STORE - X-Plane 12B
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J'utilise MSLegacyImporter en mode complet et en injectant les données du fichier .air de l'avion d'origine FSX.
Le N3202 ayant un fichier .air différent du N3400 il est normal que le flightsim.cfg soit différent.
Le N3400 n'étant pas prévu pour passer la voltige, au contraire du N3202, les caractéristiques du vol ont été établies en fonction des capacités respectives de ces deux modèles.
Le fichier engine.cfg est, lui, pratiquement identique.
Mettez le trim à 3 heures et le décollage sera plus facile.
MSI B250M Mortar, I7-7700K, 16Go 2400MHz, MSI RTX 4060 Ti 8Go, be quiet! Dark Rock TF, SSD Samsung 850 EVO, DD WD 1To, Oculus rift
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Mettez le trim à 3 heures et le décollage sera plus facile.
En VR la manipulation de la molette de trim à la sourie est loin d'être facile, je préfère donc mon augmentation de puissance du palo à 1.5.
Je ne trouve pas de désagrément à cette modif en vol.
Quelque soit la méthode l'important est d'apprécier la machine ! Encore merci c'est sympa de se retrouver aux commandes !
Dernière modification par Barnstormer (13-05-2023 06:36:57)
Simu VR VARJO AERO, i5 13600K, RTX4070Ti Super 16Go, 32Giga ddr4, SSD 2To, HDD 14To
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voici de la bonne lecture si vous appréciez cet avion
Vous verrez la vitesse à garder se situe entre 230 et 280 km/h.
C'est Léon Biancotto qui parle ...
Le pilote a devant lui un moteur comme une horloge, peut-être mieux sur le dos qu'à l'endroit ! Ce moteur
Potez ne consomme pas d'huile et, surtout, n'en perd pas. Il est particulièrement agréable, après plusieurs
séances de voltige, de soulever le capot et de passer les mains sur une mécanique qui ne laisse pas de
traces. Et ce moteur entraîne une hélice Ratier à régime constant, que l'on règle à une certaine vitesse et
qui n'en démord pas un instant.
A l'altitude de sécurité, soit 1.000 mètres, on peut afficher la puissance
maximale continue avec 141 Pz à l'admission et 2.400 t/min : le moteur développe alors 205 Ch.
L'ensemble de ces deux " mécaniques " favorise le vol acrobatique dans la même proportion que les
gouvernes très homogènes. Celles-ci sont, d'ailleurs, très douces, sans frottement sensible et. Bien
équilibrées. Je viens de le dire, elles sont homogènes en vol, mais, toutefois, il convient d'utiliser le trim de
profondeur lors des figures inversées.
Du côté des performances, citons-en quelques-unes plus appropriées à la voltige.
En utilisation monoplace, avec une heure d'essence à bord, la vitesse ascensionnelle est de l'ordre de 8 m/sec.
La vitesse de sécurité en piqué atteint 330 km/h. ce qui donne une large marge pour l'utilisation courante.
Enfin, au régime économique avec 2.000 t/min et 105 Pz à l'admission, la vitesse est de 195 km/h et la distance
franchissable de 800 km.
En vol, l'utilisation du moteur est très facile et l'hélice automatique n'est certainement pas étrangère à cet état de choses.
Sur quelques évolutions
Commençons, bien sûr, par passer sur le dos...
En vol dos, la vitesse correcte est de 230 km/h, soit pratiquement celle de croisière (2.400 t/min et 141 Ã
l'admission). Pour passer dans cette configuration, il convient de cabrer légèrement puis de gauchir en
s'aidant de très peu de pied, le lacet inverse restant faible. Dès ce .moment, il faut trimmer vers l'avant car
cette manœuvre sera plus dure en vol inversé. Je n'ai volé, jusqu'ici, qu'en place avant et il est probable que
le pilotage en place arrière réduit l'utilisation du trim en vol-dos. Le retour au vol normal nécessite un léger
cabré et une sollicitation plus importante de la gouverne de direction.
Le tonneau lent exige une vitesse d'attaque de 260 km/h et le soin de trimmer vers "piqué" au départ de
façon à ne pas avoir à trop pousser sur le manche en vo! inversé. Pendant toute la rotation et même en. fin
de tonneau, l'utilisation des commandes reste très homogène.
En renversement, la vitesse de base est également de 260 km/h et la montée est alors très spectaculaire
puisqu'elle atteint environ 300 mètres. A mesure que l'on monte, il faut mettre du pied à droite pour
combattre le souffle hélicoïdal, mais la montée étant très longue, on a tout le temps de vérifier la bonne
position par rapport à l'horizon. Le moment de "botter" en haut de figure correspond à une Vi de 80 km/h. En
bottant du pied gauche (meilleur qu'à droite) l'appareil n'a pratiquement pas tendance à passer sur le dos
sauf si la vitesse est encore trop élevée (je me souviens d'un très beau " déclenché " en compagnie de
Jacquet !). Une réduction des gaz facilite le basculement, puis une remise évite le balancement. A ce
moment, l'hélice a du mal à suivre et elle donne un coup de pompage à la reprise. Avec un peu d'habitude,
on s'accommode bien. de cette particularité. En fin de figure, la reprise de vitesse est plus rapide que la
décélération du début et j'en profite souvent pour avoir un " badin joufflu " .en bas, ce qui permet facilement
d'enchaîner par un tonneau en montée très cabrée.
La boucle s'attaque, elle aussi, Ã 260 km/h. Tout au long de la figure, il convient de maintenir l'axe au
pied, le souffle de l'hélice se faisant sentir continuellement. Sitôt arrivé sur le dos, il faut relâcher la pression
sur le manche pour obtenir un bel arrondi. C'est à ce moment qu'on s'aperçoit que. tous les chevaux sont là .
Par contre, à l'instar de la plupart des monoplans, il ne faut pas trop le chatouiller à ce moment, car le
rétablissement déclenché n'est pas loin.
Le retournement est également pris à 260 km/h avec un cabré de 70° stabilisé un instant. Ensuite, rotation
assez rapide permise par l'efficacité très acceptable des ailerons et manche en arrière. La descente ne
présente aucune difficulté et, comme toujours, il faut se servir de la gouverne pour le maintien dans l'axe.
Le rétablissement est commencé à 260 km/h. L'avion part comme pour une boucle, mais à une cadence
rapide, toute la puissance restant disponible en haut. de la boucle et il est alors possible d'effectuer la demirotation sans tricher. A ce moment, d'ailleurs, on sent l'avion reprendre de la vitesse de façon suffisante
pour ne pas perdre d'altitude, ce qui est précieux en compétition. Il faut veiller à utiliser profondeur et
direction judicieusement pour ne pas s'offrir trop d'attaque oblique.
Le rétablissement tombé demande une prise de vitesse à 260 km/h moyennant .quoi la figure est très
facile à réussir. La demi-rotation en descente à 45° ne demande que très peu d'utilisation des gouvernes.
Le nœud de Savoie exige un départ à 280 km/h. Le départ en boucle classique est donc fait avec un léger
excédent de vitesse par rapport à la boucle elle-même (260 km/h) et permet un début de figure plus grand
qui s'accommode bien avec la demi-boucle inversée que l'on doit commencer également à 280 km/h si l'on
veut obtenir une remontée dos assez nette. Lors de la prise de vitesse en inversé, il est, bien sûr,
nécessaire de trimmer vers l'avant en raison des efforts non négligeables à fournir. En fin de remontée,
l'appareil aurait tendance à s'embarquer et il faut alors contrer au palonnier. Par contre, dès qu'il est revenu
en vol positif, la reprise de vitesse est excellente.
La boucle inversée, ou passage vers l'avant, la figure est commencée à 130 km/h et, contrairement à ce
que l'on pourrait croire, la prise de vitesse n'est pas affolante. De toute façon, il faut obtenir 280 km/h avant
d'attaquer une remontée qui sera alors bonne. Somme toute, l'observation s'applique également à la
seconde partie du nœud de Savoie.
Le tonneau déclenché est attaqué à 210 km/h. J'ai effectué jusqu'ici peu de figures de ce genre, mais il
me semble que l'avion n'est pas très rigoureux dans ce genre d'exercice ; il est nécessaire de maintenir les
commandes braquées presque jusqu'à la fin de la figure. Attaqué à une vitesse plus faible, 170 kro-h par
exemple, les ailerons ont tendance à être "aspirés", quoique l'effort pour les ramener reste toujours
acceptable.
L'avalanche (tonneau déclenché en sommet de boucle) est commencée à 280 km/h et il est souhaitable de
ne pas s'endormir pendant la montée initiale. Il faut arriver en haut assez rapidement pour avoir encore 210
km/h au badin au moment de déclencher. Le tonneau ne s'arrête pas trop en piqué et cet avantage permet
de terminer la figure dans le cadre...
Les renversements et retournements inversés ne présentent pas de difficultés particulières avec le
Nord 3202, mais une succession de figurer inversées fatigue -plus le pilote que l'avion, car les "G" sont là et
bien là ! Au cours d'un enchaînement de figures classiques ne comportant pas de vol inversé, on peut
considérer que l'avion ne perd pas d'altitude. Cela est très agréable et évite les longues reprises d'altitude
de certains avions. Même en biplace, avec un peu d'essence, la perte d'altitude reste très acceptable et, de
toute façon, la grande vitesse ascensionnelle de l'appareil permet de
retrouver rapidement l'altitude initiale.
Dernière modification par Barnstormer (13-05-2023 07:09:44)
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Si cela intéresse quelqu'un j'ai aussi des notes sur le Nord 3400.
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salut les potos
ici une nav surtout chez Laser Land. http://www.pilote-virtuel.com/viewtopic.php?pid=1134997#p1134997
Merci encore pour cette machine
bises
cordialement
"Si l'homme des cavernes avait su rire, le cours de l'histoire eut été changé" Oscar Wilde
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