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#26 [↑][↓] 20-11-2009 16:51:45
Re : Règlage de l'horizon artificielle
Tout cela est bien passionnant, la période du pendule dépend de la distance au centre de la terre, et que par conséquent l'altitude de vol doit être prise en compte, au FL 400 la valeur de G est un peu inférieure à ce qu'elle est au sol... si ces concepts sont assez facile à appréhender sur les grands principes, dans le détail c'est une autre paire de manche !
Les centrales inertielles ont été dévellopées au US pour le programme lunaire Apollo, le premier essai en vol, un sacré colis à l'époque !, a été fait sur un Boeing Stratocruiser de NY à Los Angeles sur une douzaine d'heures de vol avec un erreur de l'ordre du Nautique à l'arrivée... l'asservissement au pilote automatique a créé quelques soucis aux ingénieurs participants à ce vol, lorsque parfois l'avion s'est mis à changer de cap sans raisons apparentes,.... à l'époque on ne connaissait pas encore toutes les subtilités des jetstreams ! et en fait le bazar a fait parfaitement bien son boulot ! cependant la précision n'était pas suffisante pour le voyage vers la Lune , ce qui a obligé les astronautes de recaler fréquement la centrale par visées sur les étoiles.. c'est ce qui se fait d'une manière un peu similaire de nos jours avec GPS et DME.
Ce coté pile de l'intelligence humaine est admirable, hélas l'autre face est bien moins brillante.
"On n'est pas des ... quand mĂŞme !" Serge Papagalli,
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#28 [↑][↓] 20-11-2009 17:34:36
Re : Règlage de l'horizon artificielle
Ce coté pile de l'intelligence humaine est admirable, hélas l'autre face est bien moins brillante.
Malheureusement les côtés pile et face sont indissociables !
Le programme Apollo, comme les précédents et les suivants, a servi à mesurer sa force avec "l'ennemi" et à faire accepter par le Capitole de voter des crédits pour développer des technologies à usage militaire.
Et le Concorde devait ĂŞtre un bombardier...
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#29 [↑][↓] 21-11-2009 19:36:52
Re : Règlage de l'horizon artificielle
Je crois que par côté face il entend les dégats causés à notre planète par notre "intelligence".
Mais à l'heure actuelle, je crois justement qu'il est grand temps de réunir ces deux côtés, de mettre notre intelligence au service de notre écosystème, ne serait-ce que dans une optique de profit car la pollution coutera plus cher que le développement des énergies alternatives.
C'est lĂ qu'on va voir si nous sommes vraiment intelligents ou pas.
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