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Incroyable !
Moi je le ferai pas :)
A+
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Ne ferai pas quoi? Monter sur le toit de l'ascenceur ou sauter dans le vide ?
Machine: AMD Phenom II X6 1100T - 4 Go - Nvidia GTX 460 1Go
Système : Ubuntu 12.10 64bits
Simulateur: X-Plane V10.10
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Sympa !
J'en sue des mains derrière mon écran mais sympa !
Core I7 4770K 3.5ghz - NVIDIA GEFORCE RTX 2070 8Go DDR 5 - 32 Go RAM DDR3 / Windows 10 64 bits
MSFS 2020
"Je me serai perdu dans la contemplation de la Terre, si je n'avais levé les yeux au ciel..." Amentiba (si,si...)
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Ils ne savent pas comment marche un ascenceur, c'est tout.
Allons nous baigner dans le ciel!
Bons vols par tout ATIS !
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Sympa comme vidéo
Je regarderai toujours au-dessus de moi si y'a pas quelqu'un sur le toit de l'ascenseur.....
Merci du partage !
Rien n'est difficile, chaque chose est un défi.
A travers l'adversité, jusqu'aux étoiles.
Du dernier avion, jusqu'à la dernière balle, à la dernière minute, au dernier homme, on se bat !
-Red Tails-
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L’ascenseur est plus dangereux que le saut.......
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Au secours!
Moi qui ait le vertige ça m'est difficile de regarder ça! C'est clair qu'il faut être couillu pour faire ça
Ma config : Core i5 6500 (3,4 GHz) - 12 Go de RAM - Nvidia GTX 1060 (4 Go) - Alim OCZ Infin1ty 550W - Joystick Saitek X52 / Pro Flight Yoke
Simulateur P3D v4 / Xplane11
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Une chute de 275 mètres et multiples fractures.
http://www.youtube.com/v/Ra_S_ieHSdY?version=3&hl=fr_FR&rel=0
Dernière modification par Skyline (19-10-2011 09:50:40)
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Une chute de 275 mètres et multiples fractures.
http://www.youtube.com/v/Ra_S_ieHSdY?version=3&hl=fr_FR&rel=0
c' est du pessimisme de voir que ça.
Pour nous qui rêvons de voler, qu' y a-t-il de mieux que le base jumping ?
Moi si je peux, j' y vais !
« L’aviation est la preuve qu’avec de la volonté nous avons la capacité d’accomplir l’impossible. »
de Kathleen Winsor
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c' est du pessimisme de voir que ça.
Pour nous qui rêvons de voler, qu' y a-t-il de mieux que le base jumping ?Moi si je peux, j' y vais !
Humm, le terme exact ne serait-il pas tomber plutôt?
ok, je sais, je suis pessimiste.
Dernière modification par houyo (19-10-2011 18:33:57)
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Une chute de 275 mètres et multiples fractures.
http://www.youtube.com/v/Ra_S_ieHSdY?version=3&hl=fr_FR&rel=0
[img align=c]http://img11.hostingpics.net/pics/315482801.jpg[/img]
[img align=c]http://img11.hostingpics.net/pics/397904342.jpg[/img]
[img align=c]http://img11.hostingpics.net/pics/334142383.jpg[/img]
bridge day, c'est l'endroit pour essayer des trucs, vu que pour une fois tu as un endroit légal, des secours sur place, des conseils à foison...
historiquement c'est un des grands endroits pour les "premiers sauts".
Maintenant on est d'accord, beaucoup de gens se permettent d'expérimenter un peu trop pour leur niveau d'expérience, et beaucoup sont justement "boostés" par la présence de caméras.... Alors que ça devrait les retenir...
Les choses à retenir de ce Bridge Day : des milliers de sauts sans soucis, dont 11 tandems..
Ce que "le monde" retient : un sautant qui essaye un truc, se rate et en réchappe par miracle.
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Plouf !
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Un plat de 275 mètres ! Qui dit mieux ? ;-)
Dernière modification par VonDerWoodesen (19-10-2011 19:39:01)
[img align=r]http://status.ivao.aero/R/326666.png[/img]
[Insert cocky computer specs here]
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On a trouvé notre homme face rouge face blanc.
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Pas mal ta vidéo skyline !
Je crois que oui, du même avis que thepilote54, il a dû avoir mal pour le coup.
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Bonjour!
Qu'y a t'il d'incroyable pour la première vidéo? en plus, il saute relativement haut.
Pour la seconde, c'est à ce demander juste comment il a pu survivre!
A+
Dernière modification par ECV (21-10-2011 11:27:21)
Guillaume
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Le base jump n'est évidemment pas sans risque, il demande une grande maitrise et ne laisse guère de place au moindre défaut du matériel, c'est un choix de vie, il en faut pour tous,.... j'ai pratiqué le parachutisme classique, le vol relatif en partant de 4000 mètres avec une bande de zouzou est une sensation sans comparaison dans le domaine de l'aviation...
"On n'est pas des ... quand même !" Serge Papagalli,
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Le base jump n'est évidemment pas sans risque, il demande une grande maitrise et ne laisse guère de place au moindre défaut du matériel, c'est un choix de vie, il en faut pour tous,.... j'ai pratiqué le parachutisme classique, le vol relatif en partant de 4000 mètres avec une bande de zouzou est une sensation sans comparaison dans le domaine de l'aviation...
Vous ne "tirez plus" le hand deploy?
Bonne soirée.
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L'histoire du soir
"HISTOIRE INCROYABLE MAIS VRAI!!!
On ne connaît pas d'histoire similaire dans l'histoire du sauvetage aérien: un jeune parachutiste se retrouve ballotté en plain ciel, sa voile s'étant enchevêtrée dans la roue arrière de l'avion. Une intervention périlleuse. réalisée avec le concours de la rega, permettra de ramener tous les intervenants sur le sol ferme, sains et saufs, Vingt-cinq ans plus tard, le récit de cette incroyable opération est toujours aussi captivante.
Le 28 septembre 1980, Charles-André Roux, alors âgé de 20ans, effectue son premier saut dans le ciel yverdennois. Comment son parachute a-t-il pu s'ouvrir trop tôt et s'emmêler dans la roue arrière du Pilatus Porter? Difficile de l'expliquer. Suspendu entre ciel et terre, sans possibilité de se dégager, le jeune homme peut uniquement communiquer par gestes avec l'instructeur dans l'avion. Ce dernier lui fais désespérément signe de ne pas tirer sur la poignée de sa voile de secours. En effet, le second parachute se serait à son tour enchevêtré dans l'appareil, entraînant sa chute et celle de ses occupants. Impuissant et désemparé, le pilote survole inlassablement l'aérodrome d'Yverdon à 600 mètres d'altitude. La situation semble désespérée: il est impossible d'atterrir sans dommage. Or le temps presse, le carburant ne permettra pas de tenir plus de 90 minutes.
Décision dans l'urgence
A la Rega, les chefs d'opération sont perplexes. D'emblée l'intervention s'annonce délicate. Cependant, il n'y a pas une seconde à perdre: onze minutes à peine après que l'alerte a été donnée, Andreas Haefele, pilote, et Dölf Rüfenacht, treuilliste, décollent de Berne. Pendant le vol, les deux hommes envisagent diverses options. Lorsqu'ils atterrissent à Yverdon à 15h25, policiers, pompiers et spécialistes, ainsi qu'une ambulance, attendent sur le tarmac de l'aérodrome. Une décision s'impose de toute urgence. Dix minutes plus tard, L'Alouette 3 de la rega redécolle avec un troisième passager à son bord: Pierre Jomini, instructeur parachutiste, sera hélitreuiller à hauteur de l'infortuné pour évaluer son état de santé et, si possible, couper les sangles de son parachute. Aussitôt libéré, Charles-André Roux n'aura plus qu'à ouvrir sa voile de secours. Voilà pour la théorie.
Dextérité du pilote
Toutfois, dans la pratique, le sauvetage est loin d'être une tâche aisée. Le jeune parachutiste est constament cahoté sous l'effet des remous provoqués par l'avion. Dans l'hélicoptère, Andreas Haefele travail pour ainsi dire à l'aveugle: incapable de voir le sauveteur suspendu par un câble, il doit survoler le Pilatus Porter sur lequel il n'a qu'un visibilité très restreinte. Le temps est compté, les réserves de kérosène sont presque épuisées. Dölf Rüfenacht manipule le treuil et observe avec angoisse le déroulement des opérations. Par radio, il indique au pilote où se positionner. Pierre Jomini essaie à deux reprises d'agripper le parachutiste, sans succès. La troisième est la bonne: hurlant face au vent, il lui fait comprendre qu'il va sectionner les sangles du harnais pour qu'il puisse ouvrir sa voile de secours. Charles-André Roux approuve de la tête et, après quelques secondes, libéré de son piège, tire la poigné de secours. Indemne et soulagé, il se pose dans un champ de pommes de terre. Une chose est sûre, il n'avait pas imaginé que son premier saut serait si mouvementé.
Distinction internationale
Cette incroyable opération aura un grand retentissement aussi bien en Suisse qu'à l'étranger. Elle fait les gros titres dans nombres de médias, qui diffusent même des croquis du sauvetage. Le 20 janvier 1981,à Los Angeles, La Helicopter Association of America décerne le titre de sauveteurs de l'année aux trois membres de l'équipe - Une récompense plus que méritée pour cette mission hors du commun.
Walter Stünzi
Depuis, il y a un petit déflecteur devant la roulette de queue du Porter"
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Bee Gee a écrit :Le base jump n'est évidemment pas sans risque, il demande une grande maitrise et ne laisse guère de place au moindre défaut du matériel, c'est un choix de vie, il en faut pour tous,.... j'ai pratiqué le parachutisme classique, le vol relatif en partant de 4000 mètres avec une bande de zouzou est une sensation sans comparaison dans le domaine de l'aviation...
Vous ne "tirez plus" le hand deploy?
Bonne soirée.
Le hand deploy restera dorénavant définitivement dans sa poche ! c'était dans une autre vie !
"On n'est pas des ... quand même !" Serge Papagalli,
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