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Dimanche dernier, du fait de forts vents qui ont soufflé sur le pays, un 320-214 d'Easyjet n'a pas pu se poser à l'aéroport de Toulouse... et a dû atterrir à Montpellier !
Les passagers de ce vol Paris-Toulouse ont eu la peur de leur vie, dimanche !
Les 180 passagers que comptait ce vol ont eu la surprise de voir le pilote de leur avion échouer à se poser à deux reprises sur la piste de l'aéroport de Toulouse-Blagnac. Des péripéties liées aux forts vents qui ont balayés le pays.
Le pilote doit, enfin, se dérouter vers Montpellier. Un rapport démontre que la deuxième tentative s'est même soldée par un choc entre le sol et le train d'atterrissage, sans que celui-ci ne permette à l'avion de se poser. Le pilote annonce alors qu'il renonce à atterrir à Toulouse et décide de tenter de se poser à Montpellier...
il arrivera enfin, une heure et quart, plus tard !
Dernière modification par Breizhrick (08-02-2017 11:53:42)
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C'est pas la même histoire que ce message dans "Le Bar" ? : http://pilote-virtuel.com/viewtopic.php?id=81295
Le pilote doit, enfin, se dérouter vers Montpellier.
Oui... Bon. C'est un peu aussi son boulot et ça arrive tous les jours
Un rapport démontre que la deuxième tentative s'est même soldée par un choc entre le sol et le train d'atterrissage
Un choc entre le sol et le train d'atterrissage. Oui, c'est un peu le principe d'un atterrissage, non ? J'ado-oore ces éléments de langage journalistique
sans que celui-ci ne permette à l'avion de se poser. Le pilote annonce alors qu'il renonce à atterrir à Toulouse et décide de tenter de se poser à Montpellier... il arrivera enfin, une heure et quart, plus tard ![/color]
Jusque là c'est un peu un non-événement, non ? Je veux dire par là qu'en terme aéronautique, un liner qui se déroute, ça arrive tous les jours. Le truc c'est plutôt les passagers retenu dans l'avion à Montpellier et l'absence de support/assistance à l'escale au déroutement.
Dernière modification par vbazillio (08-02-2017 12:02:37)
[img align=r]http://status.ivao.aero/R/138779.png[/img]Vincent B.
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Bonjour!
Moi je préfère un pilote qui agit avec prudence et renonce avant de se mettre dans une situation impossible et choisi le déroutement. je préfère attendre 1H45 (même si c'est regrettable) qu'augmenter la courte liste des victimes de l'aviation...
Jean-Paul.
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J'ai lu dans la presse cette article, très vendeur...
En résumé:
-Toulouse avec Marcel qui passe, conditions météo très difficiles. (Un Béluga a dérouté à Lyon d'ailleurs )
-1ère approche, sûrement pas stabilisée, remise de gaz. Normal
-2ème approche, même tarif, mais plus loin: minimum, ça passe encore, au toucher, c'est pas en sécurité, on repart.
-après 2 approches, c'est déroutement sur le terrain de déroutement prévu.
Niveau aéronautique, pas grand chose à en dire. Plutôt standard. C'est plus le problème de handling et de prise en charge des passagers sur Montpellier où il y a eu du flottement visiblement. Question pilotage, les bonnes décisions semblent avoir été prises. Deux remises de gaz et donc un déroutement, c'est un évènement dans le milieu (dans le sens que l'on ne notifie pour analyse), mais ce n'est pas un incident.
Orangina
AMD Ryzen 5600X, RTX3070 8 Go (545.84), 16Go, SSD 1To OS+MSFS, HD 2To stockage
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.....Quelle merde cette aviation commerciale ...
...... je préfère le TGV ! là au moins on sait qu'on n'arrivera pas à l'heure mais surtout qu'on ne fera jamais de remise de gaz !
"On n'est pas des ... quand même !" Serge Papagalli,
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C'est la, la grande différence avec les "major" : la gestion des pax dans ces moments la.
Si ce que les journaux annonce est vrai : laissé pour compte à Montpellier, je pense qu'il y a matière à demander des dédommagements car le contrat de transport n'est pas honoré.
Si y'avais des avocats en pax, ils doivent s'amuser maintenant !
A+, Antoine
Mon blog : http://blog.arogues.org
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Pour la question de la gestion des pax, la question a se poser serait plutôt de savoir si Montpellier était le terrain de déroutement initialement prévu (et donc une bonne gestion des pax par le handling local) ou si c'était un déroutement qui a été choisi avec l'évolution des conditions météo sur celui-ci et sur les terrains initialement prévu.
Je ne suis pas sûr que la gestion d'une compagnie lowcost ou "major" influe beaucoup sur cela. Éventuellement, on peut imaginer qu'une major hésite moins à prendre un déroutement éloigné quitte à ce que le rapatriement des passagers soit plus coûteux.
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Pourquoi pas Carcassonne ou Narbonne beaucoup plus proches ?
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Effectivement, on en parle ici http://pilote-virtuel.com/viewtopic.php?id=81295
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Je ne connais pas la philosophie du choix pour le terrain de déroutement pendant la prep, mais j'aurais tendance à croire que ne choisi pas forcément au plus près, surtout si c'est cause météo.
Le choix dépend des infrastructures du terrain (piste, approche...), de la météo, du handling sur place (pour prendre en charge l'avion, l'équipage et les pax).
Du coup, c'est aussi pour ça qu'il y a en général plusieurs terrains de déroutement.
Par exemple, pour des vols allant à Lyon, le terrain de déroutement le plus proche serait Grenoble. Mais l'assistance pour prendre en charge tout le monde n'est pas forcément disponible. Après, Chambéry mais avec une approche spécifique nécessitant un lâché équipage. Genève, souvent choisi pour le handling et les possibilités de rapatriement des passagers, mais avec un couvre-feu et avec une météo pas toujours favorable.
On se rend compte que le choix du terrain de déroutement ne va pas de soi.
Ca peut même être le terrain de départ (Marseille par exemple ou Paris).
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.......
Comme disait un ancien (plus ancien que moi ! rires !) "Il y a des jours où tu gagnes des sous à laisser l'avion dans le hangar"
"On n'est pas des ... quand même !" Serge Papagalli,
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C'est pas la même histoire que ce message dans "Le Bar" ? : http://pilote-virtuel.com/viewtopic.php?id=81295
Breizhrick a écrit :Le pilote doit, enfin, se dérouter vers Montpellier.
Oui... Bon. C'est un peu aussi son boulot et ça arrive tous les jours
Breizhrick a écrit :Un rapport démontre que la deuxième tentative s'est même soldée par un choc entre le sol et le train d'atterrissage
Un choc entre le sol et le train d'atterrissage. Oui, c'est un peu le principe d'un atterrissage, non ? J'ado-oore ces éléments de langage journalistique
Breizhrick a écrit :sans que celui-ci ne permette à l'avion de se poser. Le pilote annonce alors qu'il renonce à atterrir à Toulouse et décide de tenter de se poser à Montpellier... il arrivera enfin, une heure et quart, plus tard ![/color]
Jusque là c'est un peu un non-événement, non ? Je veux dire par là qu'en terme aéronautique, un liner qui se déroute, ça arrive tous les jours. Le truc c'est plutôt les passagers retenu dans l'avion à Montpellier et l'absence de support/assistance à l'escale au déroutement.
C'est vendeur car ça concerne une Low Cost et les gens sont toujours inquiets de la sécurité sur ces compagnies alors au moindre événement non habituel on en fait un article. Pourtant ça arrive même aux compagnies traditionnelles.
Concernant la même compagnie il y a eu un foin pas possible car quelques jours avant un vol, son horaire avait été avancé de 30 minutes et des passagers ont loupé leur vol car soit-disant pas au courant, alors qu'en réalité ils n'étaient pas arrivés suffisamment en avance à l'aéroport. On dit pourtant qu'il faut être sur place 2h avant le départ en règle générale, voir 3h dans de rares cas (pour ça se renseigner sur l'état de l'aéroport) mais eux sont arrivés moins d'une heure avant le départ.
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Enfin, pas sur que trouver des bus dispos un dimanche soir à 20H soit chose aisée, d'autant que vu la tempête, il y avait probablement des restrictions sur les déplacements en bus. Pas sur qu'une major ait fait beaucoup mieux et de plus EZY semble avoir clairement dit que les frais engagés seraient remboursés (après EZY est connue pour tout tenter pour jamais payer).
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