Vous n'êtes pas identifié(e).
C'est vrai qu'il ne faut pas gâcher notre plaisir, mais c'est dommage de passer aussi prêt d'un truc top.
La panne moteur Ă V1 fait partie des classiques, et lĂ franchement il y a un gros souci.
Remarque même sous XP12 le 319 Toliss a du mal en N-1, quelque chose ayant changé niveau autorité de la dérive.
Je préfère quand même encore le Toliss pour sa fonction des situations qui se rechargent en quelques secondes, ça me manque cruellement sur MFS.
Mais quand je compare toutes ces simulations avec ma première simulation 320, le Wilco, je me dis que ça a quand même vachement bien progressé ?
Perso je ne suis pas du tout certain que FS2020 soit aussi mauvais que certains le prétendent, bien que la structure des fichiers "air" aient changé depuis FSX P3d on retrouve les mêmes éléments dans les différents fichiers .cfg
Le problème vient plutôt des éditeurs, comme l'exemple que tu donnes sur N-1 du fenix et cela vient du mauvais paramétrage du facteur k appelé oswald dans notre joujou, la trainée induite est justement fort bien représentée de ce fait , on en a déjà parlé, la solution a été proposée.
Cdi = Cl^2 / k pi lambda cdi est donc maximum au Cl max cad à la vitesse minimale de sustention, et il diminue rapidement avec la réduction d'incidence, lorsque Cdi = Cdo alors on est à la vitesse de finesse maximum soit très proche de la green dot sur les 320, Cdo qui est le coef de trainée à incidence de portance nulle est impacté par les trainée train volets spoiler et aussi par la trainée de mach qui intervient en gros à partir de mach 0.7 pour atteindre un max vers mach 1 puis décroit après la bosse transsonique. (tout cela explique fort bien qu'un train sur rail restera toujours très supérieur à nos engins volants au niveau énergétique ! le cdi est extrêmement faible, rien de mieux que le contact roue rail, il n'y a que le cdo à vaincre ! )
A mon humble avis FS mouline tout cela dans les bases très basique de la mécavol, il n'y a pas à chercher midi à 14 heures, avec le bon oswald le fenix étale sans problème N-1 à V1 à masse max. ce qui montre que fs réagit très bien à la trainée induite.
Voilà l'exemple type d'une machine parfaitement ratée, je parle dans le monde réel, comment Beech ait pu se laisser berner pas un Burt Rutan ?
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Son concurrent, le Piaggio Avanti est beaucoup plus révolutionnaire au niveau aérodynamique, et le bat à plate couture coté performance.
Je partage l’avis de flomartin, Après 15 ans dans l’aviation d’affaire, je suis allé partout, j’ai fait les plus belles approches d’Europe, bcp d’Afrique et de moyen orient. J’ai piloté plus que de raison. Maintenant sur long courrier j’ai découvert un nouveau métier. Je pilote moins mais J’en apprend tous les jours et surtout, j’apprends des camarades sur tous les sujets de l’aéro. C’est la vraie richesse de ce métier, (si tant est bien sur que le collègue à côté parle d’autre chose que de sa fiche de paie.) ?
J'espère que vous n'avez pas oublié ma délectation en tant que provocateur patenté !
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Bien entendu je partage vos points de vu, je voulais simplement dire à certains simmeurs que l'aviation ne se résumait pas qu'à la ligne.
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Et se poser des questions sur la finalité de nos activités humaines à croissance sans limites. Sur le chemin pris, il se peut qu'un jour il n'y ait plus d'aviation du tout..... Et ce serait bien dommage n'est il pas !
Tout ceci est bien intéressant effectivement mais je ne comprends pas trop le concept de râler ici, même à juste titre. Le mieux serait de leur dire directement, non? et de leur expliquer? Voire de faire remonter en tant que bug...
Mais on ne râle pas ! on montre les défauts, persos j'avais contacté fenix concernant le plus gros défaut du paramètre oswald qui démolit les perfos de décollage en N-1 à V1, ils m'ont renvoyé gentiment dans mes buts,... alors qu'ils se démerdent !
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Si on critique c'est justement que sur de très nombreux points cet avion est excellent, mais bon ça vient gentiment, ils ont déjà réglé dans la dernière mise à jour le comportement désastreux aux basses vitesses, ne reste que le premier que je cite ici, ainsi que l'atterrissage vent de travers en autoland
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On est ici davantage dans l'esprit des essais en vol plutôt que dans l'utilisation normale de l'avion qui entre nous n'a guère d'intérêt, Pour le peu qu'il reste à piloter, un pilote préférera toujours poser son joujou à la main, l'autoland étant plutôt réservé aux atterrissages CAT IIIC où on voit moins loin que le bout de son nez et dans de tels cas il n'y a guère de vent de travers en général, ce qui me pousse c'est la curiosité, car le métier en lui même n'a guère d'intérêt.
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D'ailleurs j'ai un très bon ami qui était cocher sur long courrier dans notre compagnie nationale, sa grande frustration était de ne plus piloter, au point qu'il allait faire de l'ULM performant durant ses congés. On s'enrichit à faire des choses très différentes, papa Sully qui avait débuté par le vol à voile a parfaitement démontré son savoir faire de pilote en prenant la bonne décision d'aller se poser dans l'Hudson. .. On m'a dit que chez AF dans la formation initiale des cadets on leur faisait faire du planeur, pas pour le pilotage pur, mais pour développer le sens de l'anticipation ce qui est la chose la plus importante en vol à voile ... et en aviation en général.
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Donc allez faire du Condor, c'est autrement plus intéressant !
Bee Gee a écrit :La dernière version du 320 améliore très bien le comportement basse vitesse, voilà déjà un très bon point,
hélas pas d'amélioration sur les perfos N-1 au décollage, ni l'atterrissage vent de travers en autoland, il faudrait que ces jeunes gens comprennent comment on fait un atterrissage vent de travers, il y a plusieurs méthodes et j'ignore comment fait le réel. Dans le fenix l'avion décrabe totalement peu avant l'arrondi et de ce fait la trajectoire dévie fortement sous le vent au point d'aller tangenter les balises de bord de piste, pour compenser il faudrait obligatoirement incliner mais sur un tel avion ce n'est pas une bonne idée, les nacelles moteurs ne sont pas loin du sol, une autre méthode consiste à ne pas décraber du tout, ... et cela fonctionne ! mais amène des contraintes sur le train principal, le bon compromis est entre les deux méthodes, décraber en gros de la moitié de la valeur de la dérive juste avant l'impact.
Je viens de faire deux tests d'atterrissage autoland N-1 à LFRB (terrain connu pour avoir des conditions météo propices aux test vent de travers) avec le 320 Fenix.
Avec masse "normale" et ensuite MLW à 64.5t, et avec panne moteur gauche puis droit avec 20kts à 340° sur la piste 25L.
Effectivement il a eu tendance à décraber un peu rapidement et finir à plus de 30ft à gauche de la centerline (les balises ont probablement eu un coup de chaud...) sur le premier test comme l'indique le rapport d'attérrissage ci-dessous.
A part ça il a réussi à tenir le LOC et Glide de manière satisfaisante pendant toute l'approche malgré de bonne rafales traversières programméeshttps://static.wixstatic.com/media/3f9ea0_92993e2e38074e429ae16e4c55c15525~mv2.png
Sinon j'ai commencé à lire le bouquin de Claude Lelaie sur les essais du 380 et c'est effectivement intéressant d'apprendre par ex qu'ils ont poussé le 380 à une vitesse de Mach 0.983 en test de VD/MD en piqué et aussi que les tests d'atterrissage par vent de travers à Keflavik ont permis de certifier le 380 avec 56 kts (i.e. un peu plus de 100 km/h) de composante traversière, ce qui est un record pour Airbus (et certainement aussi pour touis les avions de ligne actuellement en service). Alors c'était des pilotes chevronnés (Claude Lelaie, Jacques Rosay ou encore François Fabre, le pilote d'essai de l'EASA) mais cela en dit long sur la capacité de cet avion à supporter le vent de travers. Quand on voit les vidéos d'atterrissages "sportifs" à Dusseldorf ou Manchester lors de tempêtes récentes, on peut dire qu'on est encore loin des limites de l'avion (mais peut-être pas de tous les pilotes )
Merci pour l'essai le suivi de la trajectoire en automatique par fenix est parfait sauf l'atterrissage vent de travers tout moteur en fonctionnement, en N-1 cela dépend de quel coté est le moteur en panne et de quel coté vient le vent, soit c'est pire soit c'est un peu mieux, restons dans nos essais en N moteur il faudrait qu'il le fasse décraber gentiment durant l'arrondi de la moitié de la valeur de la dérive, Lelaie dit 70% mais comme il dit "c'est à la louche" un terme très utilisé en pilotage ! mieux vaut un estimation au pif mais appliquée dans le bon sens plutôt qu'un calcul très précis appliqué à l'envers, j'appelle cela le pifomètre, ou le "à la louche", car de tout manière il faudra que l'avion roule en crabe afin de tenir le vent de travers, un pneumatique soumis à une force transverse dérive lui aussi et dans l'affaire cela va dépendre de l'état de la piste, de la charge verticale, tant que l'avion est encore sustenté la dérive des pneus devra être plus importante, sur piste mouillée on aurait intérêt à moins décraber que sur le sec, et à la limite sur une piste très glissante il ne faut pas décraber du tout, voir surcabrer,.... mais dans ce cas ce sera plutôt terrain de dégagement !
Enfin le constructeur parle de vent de travers démontré, qui fait acte des essais en vol, une limitation vent de travers est plutôt donné par l'exploitant comme consigne à ses équipages
Cette génération d'avion a très grandement facilité le travail des pilotes, je puis en témoigner, , c'est moins rigolo mais la sécurité des vols a été très grandement amélioré.
Comme on commence à envisager le décollage automatique qui fera certainement gagner en distance de décollage car on y prend systématiquement la distance d'accélération arrêt, un computer sera beaucoup plus réactif qu'un pilote, et en cas d'accélération arrêt on supprimera la durée de latence du pilote humain, un pilote n'a jamais été un surhomme ! Ce qu'il y aura le plus difficile à automatiser c'est le roulage au sol, mais avec les moyens actuels tout peut être envisagé.
Donc après avoir viré le radio, le navigateur, le mécanonav, on virera sans doute un jour les pilotes, ne restera que le commandant de bord, car il faudra toujours un pauvre type pour endosser la responsabilité et prendre les décisions stratégiques, mais qui ainsi aura aussi le temps d'aller baratiner le PNC !
voici une video avec des explications de Mr Claude Lelaie sur le vent de travers à l'atterrissage et décollage
https://www.youtube.com/watch?v=eL74Pagp_8g
Voilà un bel exemple d'atterrissage sans décrabe avant l'impact !
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https://www.youtube.com/watch?v=rAD5gpaPn98
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Pour le reste Claude explique parfaitement ce qui est enseigné dans toutes les bonnes écoles avec une parfaite analyse et je suis d'accord avec lui pour avoir formé des tas de pilotes, il n'y a pas 36 000 méthodes, et il serait d'accord avec moi pour dire que celle de Fenix n'est pas la bonne !
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Dans les avions les plus difficiles, et de loin, sont ceux Ă roulette de queue, poser un Stampe ou un PA18 avec 15 kt de travers est autrement plus sportif qu'avec un gros
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Les avions qu'ils soient gros ou petits obéissent aux mêmes lois physiques, la différence que pour une même quantité de vent une faible vitesse d'approche entraine une dérive plus grande, donc c'est plus facile avec un avion qui approche à 140 kt plutôt qu'avec un qui le fait à 70 kt
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Je le redis lisez le bouquin de Claude Lelaie "LES ESSAIS EN VOL DE L'A380" on y apprend des tas de choses. Voilà un vrai métier de pilote, sans doute un des rares vraiment passionnant.
La dernière version du 320 améliore très bien le comportement basse vitesse, voilà déjà un très bon point,
hélas pas d'amélioration sur les perfos N-1 au décollage, ni l'atterrissage vent de travers en autoland, il faudrait que ces jeunes gens comprennent comment on fait un atterrissage vent de travers, il y a plusieurs méthodes et j'ignore comment fait le réel. Dans le fenix l'avion décrabe totalement peu avant l'arrondi et de ce fait la trajectoire dévie fortement sous le vent au point d'aller tangenter les balises de bord de piste, pour compenser il faudrait obligatoirement incliner mais sur un tel avion ce n'est pas une bonne idée, les nacelles moteurs ne sont pas loin du sol, une autre méthode consiste à ne pas décraber du tout, ... et cela fonctionne ! mais amène des contraintes sur le train principal, le bon compromis est entre les deux méthodes, décraber en gros de la moitié de la valeur de la dérive juste avant l'impact.
Merci Niokilt pour ton retour.
Oui j'ai vu que tu devais effectuer pas mal de manip toi même, contrairement aux situations de ToLiss où tout est sauvegardé.
Je vais donc attendre un peu, déjà que je viens de tester à nouveau le Fenix en N-1 et que ce n'est toujours pas ça...Pourtant j'ai été gentil : décollage en 31R, 68 tonnes, panne à V1. Le bouzin se met à osciller énormément en roulis, et la vitesse peine à monter. La beta target indique n'importe quoi.
Bref, le comportement est très, très loin de ce que cela devrait être.Et pourtant, avec les modifs conseillées par BeeGee.
J'ai fait un rapide tour de piste, remis les gaz pour voir, et le FD s'est mis Ă saccader, impossible Ă suivre dans ces conditions.
Par contre, les actions ECAM proposées pour la panne moteur étaient correctes, contrairement à ce que j'ai lu ici plus haut.
La gestion de l'A/THR un peu moins, il est passé en MCT tout seul, alors qu'en principe il faut quitter le cran FLEX puis revenir dedans pour cela.
Bref, c'est super dommage, mais visiblement MFS2020 a l'air de donner du fil Ă retordre aux programmeurs pour obtenir quelque chose de correct.
Les oscillations en roulis sont effectivement totalement anormales (sans compter les pertes de contrĂ´le total possible si on le bouscule un peu Ă Vapp)
En attendant pour ce genre d'exercice le mieux est le pilotage à la main et surtout accroitre V2 d'au moins 10 kt, ça ira dans le bon sens concernant les perfos, .... la phase de montée initiale de ces engins est en plein 2eme régime de vol, chaque kt de gagné va dans le bon sens.
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On pourrait affiner davantage si on avait les tableaux de performance de la machine réelle.
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On peut ajouter l'atterrissage en autoland aux limites de vent de travers, 20 kt pour le 320, Ă essayer ! c'est assez amusant
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Enfin et pour finir MS2020 n'est pour rien dans cette affaire, c'est le manque de savoir faire chez Fenix dans ce domaine.
Si tu disposes de MSFS, je t'enverrais volontiers un "paquet cadeau" pour faire joujou ;-)
Question modèles de vol, j'ai appris beaucoup de choses avec toi, parfois difficilement et j'espère progresser encore ...
Nous sommes tous des ignorants qui s'ignorent ! Bien entendu je fais de ce fabuleux MSFS mais juste pour le fun
Bee Gee ... tu m'Ă©pateras toujours par ton style inimitable.
Je croyais que tu avais raccroché mais heureusement: toujours là !
Je suis comme ton icone, je prends de l'âge ! mais je passe souvent lire sujets et commentaires de ce forum.
Sur ma copie j’ai appliqué des modifs au engine.cfg pour neutraliser la ramdrag excessive du moteur en rideau (on baisse les coeffs de ligne à CN1 = 0) sur le corrected airflow et qqs ajustements sur la mach thrust table. Avec ca je trouve que ça passe bcp plus facilement en N-1.
Ca illustre bien la difficulté à developper sur MSFS : le modèle prend ce qu’il veut dans les données que vous mettez et interprète à une sauce différente du SDK. Typiquement la courbe de CL vs AOA : il ne prend que 2 points de ce que vous mettrez: visiblement le CLmax et le CL0 et retrace une courbe lui même. Les autres points seront tt simplement ignorés.. idem pour l’effet de sol où il prend la valeur max et recalcule le reste selon son bon vouloir…
Je ne parle pas de la réponse aux commandes qui est assez boite noire.
C’est pour cela que j’aime de plus en plus JSBSIM dispo sur Flightgear où le modele fait ce qu’il dit et dit ce qu’il fait. C’est aussi le choix de a2A de partir sur ce type de mdv externe.
Oui c'est vrai ... mais laissons de coté le SDK inutile dans notre pb et repartons de choses très simples mais pertinentes de ce que nous apprend la littérature de la mécanique de vol trouvable dans toute bonne pharmacie et que reproduit très bien FS.
L'important est de savoir qu'à l'incidence de finesse max la trainée de forme = la trainée induite, ramené à leur coef:
Cd = Cdo + Cdi
où Cdo est le coef de trainée de forme, et Cdi le coef de trainée induite
La mécavol nous enseigne donc qu'à l'incidence de finesse max (donc la vitesse pour une masse donnée et N=1)
Cdo = Cdi
On peut considérer que green dot soit ce point caractéristique de f max même si c'est parfois un peu contesté mais on ne sera pas loin du vrai, on peut s'en servir de base valable on peut donc facilement rechercher un couple green dot / masse
par exemple 217 kt Ă 64.5 tonnes
Une recherche sur le net donnerait une finesse max de 17 pour le 320 ce qui ne parait pas improbable c'est 2 fois mieux que nombre d'avion léger.
On connait d'autre part que Cdi = Cl^2 / k pi lambda oĂą lambda est l'allongement b^2/s qui vaut ici 9.39... et k Ă©tant le fameux Oswald
Nous avons tous les éléments pour connaitre la trainée à la vitesse de finesse max, green dot, et en déduire le Cd qui vaut après une petite moulinette de l'équation de base Cd = 0.3994
Par conséquent le Cdo vaut la moitié de cette valeur, ainsi que le Cdi à cette valeur
D'oĂą Cdo = 0.01998 ou proche de cette valeur et Cdi = 0.01998
Nous avons là en main tous les éléments pour calculer oswald, il suffit pour cela de calculer le Cl à fmax et repartant de l'équation on trouve la valeur de oswald = 0.7829
Comme on a qq incertitudes on peut arrondir cela Ă des valeurs proches
Evidemment cela n'est valable qu'en lisse et hors des effets de mach, FS rajoute les coef de trainée du train, des volets, des spoilers et de la trainée de mach aux grandes vitesses
Pour affiner il faudrait des données plus précises, mais bon on n'est là que pour faire joujou, et au delà le métier de pilote surtout de ligne qui n'est pas très passionnant, j'appelle ça du transport de cocu pour faire rire mes petits camarades de réseau, et ne demande guère d'esprit inventif, il ne faut surtout rien inventer dans ce métier mais appliquer en bon singe savant les procédures, bon je fais un peu de provocation j'aime bien la provoc, car le métier il faut l'apprendre et c'est un long labeur, perso je ne fichais rien à l'école, et fait de l'aviation par une incroyable suite de circonstances, mais quand une passion s'installe on se met à travailler dur. je n'ai qu'un seul petit regret ce que j'aurai aimé faire ce sont les essais en vol, et j'encourage de lire le bouquin absolument passionnant de Claude LELAIE: "LES ESSAIS EN VOL DE L'A380", on y apprend des tas de choses.
Il n'en reste pas moins que dans son comportement basse vitesse le Fenix est encore très loin du compte, à VLS+5 si on le chatouille un peu on arrive à la perte totale de contrôle avec départ de vrille, pour un avion à CDVE et le protections du domaine de vol, ça la fiche mal, sans compter l'atterrissage vent de travers aux limites en autoland
A part cela le 320 Fenix est très remarquable pour le reste, dommage que cela pèche sur ces petits détails. Il leur manque un ingénieur en mécavol. PMDG est nettement un cran au dessus.
En aparté: Au delà de ça ces engins volants sont un désastre écologique qu'on le veuille ou non, avec ce que consomme un 320 entre la mise en route et le top décollage un camion de 45 tonnes parcours facile 400 km, si on s'amuse à évaluer le rendement entre le top décollage et la stabilisation en croisière on n'arrive même pas à 15%, à peine mieux que les locos à vapeur de mon enfance, donc prenez l'avion mais que si c'est pas possible de faire autrement et seulement pour des raisons valables, pas pour dire ce que disent certains imbéciles "cette année j'ai fait le Sri Lanka"... tu parles Charles.
.... Evidemment c'est de la provoc ! ... Quoique ... quoique ...
Ne divergeons pas du sujet je te proposes de refaire un essai après ces modifs dans le fichier flight_model du 320 CFM
dans AIRPLANE GEOMETRY
oswald_efficiency_factor = 0.78 (au lieu de 0.43)
dans FLIGHT TUNING
induced_drag_scalar = 1 (au lieu de 1.34
Et tu survivras facilement à un décollage 13L à LFML
Autre curiosité, le 320 est limité à 20 kt de vent de travers en auto_land, amuses toi à faire le test .. et prend de préférence une piste large ! les balises ont intérêts à baisser la tête !
Fenix bon produit mais qui pèche dans quelques détails malgré tout importants
Si ça amuse on peut faire le calcul d'oswald qui ne sort pas du chapeau d'un magicien !
Bon ça passe tout juste en TOGA avec les conditions évoquées au post précédent. En revanche l'avion de monte pas vraiment et il faut jouer avec l'assiette et la trajectoire pour revenir se poser non sans sueurs froides.
J'espère en effet que c'est un peu mieux sans un 320 réel dans cette situation car je n'aimerais pas être passager à bord sinonJ'ai pu capturer la fenêtre de debug des paramètres de trainée après décollage pour voir ce qui était mesuré par rapport aux paramètres théoriques
Ambiance dans le cocpit avec un moteur en moins et masse décollage 73.5t, si on essaye de prendre un peu d'altitude, la vitesse chute dangeureusement (pourtant en poussée TOGA sur le moteur residuel)
Heureusement j'ai réussi à revenir en finale 13L et à me poser
Conclusion l'avion est inexploitable à MTW sur des AD à peine plus contraignants que LFML qui ne l'est pourtant guère, la réponse est simple la trainée induite est trop importante, il suffit de recaler le paramètre oswald à une valeur cohérente, très facilement calculable si on a qq notions de mécavol .... et revoir le tableau FLIGHT TUNING , quand un gars connait son affaire tous les paramètres importants comme "induced drag scalar" devraient être à 1 ou très proche de 1
Ne parlons pas de son comportement Ă basse vitesse en manuel Ă Vapp, totalement inadmissible.
Bon en attendant on se marre bien pour le reste sur cet avion !
Bee Gee a écrit :Test falsifié tu n'étais pas à MTOW au lâché des freins, 73.5 tonnes et non les 72.5 tonnes de ton essai, 1 tonne de différence peut changer beaucoup de chose entre la vie et la mort Tu peux aussi proposer d'autres essais sur des ad moins favorable question altitude
Ok il était tard j'avais lu 72.5t mais je vais le refaire à 73.5t et suivre la prodédure décrite par Flomartin pour éviter le relief aussi
le relief à LFML n'est pas bien haut, un avion performant comme le 320 devrait s'en affranchir très aisément en condition standard au niveau de la mer , on n'est plus au temps de la Caravelle ! ( j'avais oublié de préciser 15° au sol vent nul), refais ensuite la même chose avec +35° , même en 31R
flomartin a écrit :Après en piste 13 on a justement une procédure en cas de panne moteur. Si la panne arrive avant le début du virage à gauche, on tourne à droite à 400 ft.
Si on a commencé le virage à gauche du SID, on le poursuit jusqu'au cap 238° de mémoire.
En aucun cas on va tout droit vers le relief...
Oui c'est ce que je me suis dit aussi, j'avais essayé de trouver la procédure en cas de panne moteur en 13L sans succès du coup comme il était déjà tard je me suis dit que j'allais monter dans l'axe à 3000ft mais en effet dans la réalité un virage à droite ou à gauche dans cette situation représente une situation avec plus d'avenir.
Surtout que notre ami Bee Gee n'a pas choisi la 13L au hasard, la piste est en légère pente ascendante au QFU13, ce qui rend le décollage MTOW avec panne moteur encore plus délicat, pour peu qu'il fasse bien chaud comme souvent à Marseille. Bon hier en météo réelle, ça allait encore, la poussée FLEX calculée n'était pas TOGA donc j'imagine qu'on avait encore un peu de marge mais cela serait intéressant de tester aussi un arrêt décollage dans les même conditions mais avec panne moteur juste avant V1 pour voir ce que cela donne.
Fais un essai en 31R en condition standard, certes ça passe mieux... il n'y a que l'étang de Berre devant !!, mais malgré tout ce n'est pas brillant du tout et ne correspond même pas aux minimas règlementaire de pente de montée en N-1
Fenix est mauvais sur ce point, que vous le vouliez ou non, dans les premières versions, c'était le crash assuré, avec les versions 2.2 ils se sont contenté d'augmenter un peu la poussée des moteurs.
Bon en attendant, je me suis amusé à faire le test proposé par Bee Gee, i.e. panne moteur à MTOW en passant VR au départ de la 13L à LFML avec météo clémente (on va éviter d'en rajouter)
On charge le bestiau avec 180 PAX, 5 tonnes de fret et 9.1 tonnes de pétrole histoire d'arriver à 72.5t comme indiqué
Le carton de décollage nous donne 158 kts pour V1 et VR ce qui me permet de programmer une panne du moteur 1 justement à V1 (ce qui sera la même chose que VR du coup)
Un petit rappel de la procédure en cas de panne moteur après V1 et hop on décolle avec MAN FLEX SRS Autothrust Blue au FMA
https://static.wixstatic.com/media/3f9ea0_fec7fee0ae5c4b158ae9e5aeb8e4fbb1~mv2.jpg
V1, VR et paf le moteur 1 qui se met en drapeau, on suit la procédure et le moins qu'on puisse dire c'est que le 320 ne monte pas des masses face au relief qui se présente dans l'axe de montée de la 13, les fesses sont serrées pour éviter de terminer dans le massif malgré le passage en poussée TOGA mais on arrive quand même à le passer
Test falsifié tu n'étais pas à MTOW au lâché des freins, 73.5 tonnes et non les 72.5 tonnes de ton essai, 1 tonne de différence peut changer beaucoup de chose entre la vie et la mort Tu peux aussi proposer d'autres essais sur des ad moins favorable question altitude. Tu ne fais que confirmer ce que je disais précédemment
Je suis admiratif devant le fait que certains d'entre vous soient apparemment hyper pointu en connaissance sur ce sujet mais parfois je me demande si on parle bien d'un add-on a 45€ pour un simulateur grand public a 60€.
Cela ne reproduira jamais un simulateur professionnel de formation a plusieurs millions de $ et encore moins l'avion réel.
Pour un freeware j'aurais été entièrement d'accord avec toi, mais là on a affaire à un payware qui se doit un minimum de crédibilité sur le modèle de vol qui est au minimum d'exploiter les capacités de FS dans ce domaine, je ne parle pas du reste de cette superbe machine, le 320 Fenix est bien modélisé. Dommage qu'ils n'aient pas un gars qui connaissent un peu la mécavol, même le 320 natif est meilleurs sur ce point précis
Je ne parle même pas du comportement désastreux aux très basses vitesses qui peut amener à des pertes de contrôle totales, pour un avion protégé ça la fout un peu mal
Si ça intéresse on pourrait en dire un peu plus du comment calculer oswald qui ne sort pas du chapeau du magicien.
Bee Gee a Ă©crit :flomartin a Ă©crit :Filoux, tu le trouves bon en terme de respect de performances ?
J'avais fait pas mal de tests et au décollage ce n'est pas ça...en N-1 l'avion a bien du mal à s'arracher du sol !
......
Franchement je n’ai jamais été impressionné par les mdv de PMDG. Je me suis arrêté au 777 sous P3D après avoir été passablement déçu par les pentes de descente aux GW extrêmes. Signe que leur désigner était à côté de la plaque sur la trainée induite. Leur faire remarquer cet etat de fait m’a valu un bannissement de leur forum (clowns).
Pour revenir au Fenix, on peut observer grâce au debug du dev mode la polaire Cl vs Cd du modele et l’on comprend que les designer ont joué sur les paramètres pour coller à la courbe réelle.
Ma conclusion est que MSFS ne restitue pas exactement la modélisation décrite dans le sdk, ce que j’avais noté avec un autre user du nom de boufogre sur le forum de msfs, obligeant les designers à sortir des sentiers battus pour obtenir les résultats visés. Pour avoir une petite expérience de la modelisation du 320, je maintiens qu’ils ont faut un excellent travail.Fenix fait du très bon travail mais a quelques lacunes dans la base même de la mécavol,..... je pense surtout d'après ce que tu décris que tu n'as pas bien compris ce qu'est la trainée induite dont les effets ne sont importants qu'à basse vitesse, cas du décollage en N-1 à V1 ce dont le 320 Fenix a bien du mal à survivre à masse max ce qui est anormal et confirme bien qu'il y une lacune à ce niveau, mais dès qu'on dépasse green dot son influence devient de moins en moins importante pour ne pas dire négligeable proche de Vmo. Fait un peu de Condor et tu verras vite qu'un planeur lourd va plus loin en plané grande vitesse plutôt que léger, donc sur des avions fins comme un 777 à masse élevée peut avoir des difficultés à suivre une pente de descente... justement parce qu'il est à masse élevée... et si en plus on a du vent arrière .... En descente croisière la trainée induite est quasi négligeable. Enfin il n'y a directement aucune courbe de Cl vs Cd vu que la trainée induite est en permanence calculée par FS en fonction du Cl. On n'a que le coef de trainée de forme Cdo et Cdi lui est calculé en fonction de l'allongement de la masse, et de papa Oswald.
Le problème du FENIX en EFATO est lié à la friction anormalement élevée sous MSFS. En cas de panne moteur à V1, la dissymétrie engendrée et la friction font que l'accélération entre V1 et VLOF est faible et le décollage bcp plus tendu avec le reste de piste disponible
Une fois en vol, le problème disparait... Il semble bien respecter les abaques dont je dispose encore, yc en N-1. A noter aussi que les temps de décélération entre 250 et Gd puis vers 210 kt sont tout à fait corrects.
Les pentes de descente depuis le FL de croisière du FENIX sont correctes, et très similaires à celle du FSL. Les pentes de montée également. Le problème des trajectoires de montée et de conso a bien été corrigé depuis qu'ils ont revu les moteurs sous un modèle externe depuis qqs mois déjà .
Pour en revenir au 777 du PMDG, pourquoi je parle de souci de trainée induite ? Tout simplement car le manuel de vol du 777 publie des trajectoires de descente à différentes masses. Si l'on s'amuse à comparer les traj du PMDG avec les pentes de descente à masse maxi et masse mini (en s'assurant du chargement correct de l'avion hein ?) je constatais que le PMDG n'avait pas la même différente de pente qu'en réel. Pour moi c'est bien un problème lié à la trainée induite puisque la loi de MACH/CAS étant la même dans les 2 cas: le profil de Cd0 (yc cd lié à la compressibilité) était le même (la ram drag aussi). La masse étant la seule différence, le CL était donc différent, affectant du même coup le Cdi. (Cdi étant prop au CL^2).
En jouant un peu sur le Oswald ou bien le facteur de trainée induite (c'est kif kif), on arrivait à ouvrir un peu cet angle et coller un peu plus à la réalité.
Mauvaise analyse et je ne vais pas répéter deux fois la même chose, tu montres simplement que tu n'as pas compris ce qu'est la trainée induite. Aussi fait le test suivant, A320 Fenix départ de LFML piste 13L, masse au ramp 73.7 tonnes pour être à la MTOW de 73.5 tonnes au décollage, programme une panne à Vr (pour éviter une soit disant "friction au sol") et donne nous le résultat. Enfin le comportement en vol basse vitesse en pilotage manuel peut vite se transformer en désastre sur cet avion , Fenix excellent sur les systèmes, médiocre sur le modèle de vol.
Filoux, tu le trouves bon en terme de respect de performances ?
J'avais fait pas mal de tests et au décollage ce n'est pas ça...en N-1 l'avion a bien du mal à s'arracher du sol !
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Franchement je n’ai jamais été impressionné par les mdv de PMDG. Je me suis arrêté au 777 sous P3D après avoir été passablement déçu par les pentes de descente aux GW extrêmes. Signe que leur désigner était à côté de la plaque sur la trainée induite. Leur faire remarquer cet etat de fait m’a valu un bannissement de leur forum (clowns).
Pour revenir au Fenix, on peut observer grâce au debug du dev mode la polaire Cl vs Cd du modele et l’on comprend que les designer ont joué sur les paramètres pour coller à la courbe réelle.
Ma conclusion est que MSFS ne restitue pas exactement la modélisation décrite dans le sdk, ce que j’avais noté avec un autre user du nom de boufogre sur le forum de msfs, obligeant les designers à sortir des sentiers battus pour obtenir les résultats visés. Pour avoir une petite expérience de la modelisation du 320, je maintiens qu’ils ont faut un excellent travail.
Fenix fait du très bon travail mais a quelques lacunes dans la base même de la mécavol,..... je pense surtout d'après ce que tu décris que tu n'as pas bien compris ce qu'est la trainée induite dont les effets ne sont importants qu'à basse vitesse, cas du décollage en N-1 à V1 ce dont le 320 Fenix a bien du mal à survivre à masse max ce qui est anormal et confirme bien qu'il y une lacune à ce niveau, mais dès qu'on dépasse green dot son influence devient de moins en moins importante pour ne pas dire négligeable proche de Vmo. Fait un peu de Condor et tu verras vite qu'un planeur lourd va plus loin en plané grande vitesse plutôt que léger, donc sur des avions fins comme un 777 à masse élevée peut avoir des difficultés à suivre une pente de descente... justement parce qu'il est à masse élevée... et si en plus on a du vent arrière .... En descente croisière la trainée induite est quasi négligeable. Enfin il n'y a directement aucune courbe de Cl vs Cd vu que la trainée induite est en permanence calculée par FS en fonction du Cl. On n'a que le coef de trainée de forme Cdo et Cdi lui est calculé en fonction de l'allongement de la masse, et de papa Oswald.
Filoux, tu le trouves bon en terme de respect de performances ?
J'avais fait pas mal de tests et au décollage ce n'est pas ça...en N-1 l'avion a bien du mal à s'arracher du sol !
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C'est là que monsieur Oswald a son mot à dire, Fenix ce n'est pas PMDG au niveau mécavol, donc avec quelques notions on peut s'amuser à calculer Cdo qui est le coef de trainée à portance nulle, et Cdi qui est la trainée induite par la portance, Cdo est constante tant qu'on est loin des effets de mach, Cdi diminue avec la vitesse et il est maximum à la vitesse minimale de sustentation. Il y a un point particulier où Cdi = Cdo ce point correspond à l'incidence de finesse maximale et sur le 320 cette incidence correspond à green dot en lisse. Une recherche dit que la finesse max d'un 320 est autour de 17 à cette incidence de vol
Je passe les calculs qu'on peut mettre dans un tableur, il suffit de connaitre l'envergure, la surface alaire, une masse de référence et la vitesse de Fmax correspondante on peut développe si ça intéresse.
Alors plus simplement aller fouiller les fichiers du 320 pour une version perso le CFM, faire une sauvegarde du fichier flight_ model, puis dans l'original modifier ceci:
Cdi appelé drag_coef_zero_lift = 0.0198 est cohérente on n'y touche pas
oswald_efficiency_factor = 0.78 au lieu de 0.43
plus bas dans la section Flight tuning
induced_drag_scalar = 1 au lieu de 1.34
Faire un essai avant et après, avec panne d'un moteur à V1 facile à programmer sur le Fenix par ex en32R à LFML à masse max 73.5 tonnes et on voit ainsi la différence entre un avion prêt au crash et un avion qui va survivre.
Faites une comparaison avec le fichier d'un 737 PMDG... eux connaissent la mécavol.
Enfin si on s'amuse à évaluer le rendement thermodynamique d'un 320 entre le lâcher des freins et le moment où il atteint par ex mach 0.78 et FL330, on arrive à une valeur à peine mieux qu'un loco à vapeur de mon enfance, ensuite en croisière c'est un peu mieux.... l'aviation, un désastre écologique qu'on le veuille ou non !.
Bons vols !
Les 2 modifs ne peuvent avoir aucun impact sur le roulis mais j'ai remarqué qu'à de basses vitesse proche de V2 on a de petites instabilités en roulis. (avec ou sans modif).. bon on ne va pas pinailler pour ça ..
V2 est en plein 2eme régime de vol et cela pénalise la pente de montée initiale, sur le Fenix sur 2 moteurs l'avion accélère rapidement, sur 1 moteur on tend à revenir vers V2, mieux vaudrait intégrer V2+10 ou +15 dans le MCDU
Pouvoir programmer des pannes est assez amusant, n'est il pas ?
j'avais envoyé un mot chez Fenix mais sans impact, c'est leur problème.
Oui mais cher bisinchi, lĂ on parle de l'A320 Fenix dont le MTOW est 73.5 tonnes et pas autre chose
Et cher Gordon FS2020 est très performant et peut être utilisé comme un très bon entraineur au vol, même pour une formation pro. ... mais ce n'est pas un simulateur bien entendu, cependant quand je vois que pour 2 lignes insérées par quelqu'un qui ne connait rien à la mécavol, je m'étonne tout simplement, et on est en droit d'en avoir pour ses 60 euros, ... pour un freeware ça aurait été acceptable.
Et d'un autre coté vous allez pinailler pour des détails sans importance ..
Fenix c'est bien, mais pas encore au niveau de PMDG.
Merci 572452d'avoir joué au pilote d'essai ! super !
C'est dans les cas limites comme celui ci qu'on peut vérifier la validité d'un modèle de vol et là Fenix qui est certes très bien sur bien des points, n'est pas à la hauteur à ce niveau de la mécavol de base.
Si ça t'amuses essayes ces paramètres qu'on trouve dans le fichier flight_model.cfg du FNX320-CFM (un suffit pour les essais !) en prenant la précaution de faire une sauvegarde préalable de ce fichier.
Section [AIRPLANE GEOMETRY]
oswald_efficiency_factor= 0.43 mettre 0.78 Ă la place de 0.43
Section [FLIGHT TUNING]
induced_drag_scalar= 1.34 mettre 1
Sauvegarde, essai, et lĂ normalement tu devrais survivre !
Si ça intéresse on peut développer un peu la démarche pour évaluer avec une précision suffisante ces paramètres fondamentaux, que semble ignorer leur chef mécanicien !
a+
Hello la troupe
Si vous voulez faire un truc amusant, charger ce bon 320 de manière à être à 73.5 tonnes au décollage à MTOW, LFLS piste 09 départ DANBO6E, et important .. météo neutre, vent nul et en condition standard, 1013 - 12° au sol.
Programmer la panne de 1 moteur à V1+2 kt donc accélération-go
Et donnez des nouvelles,.
En effet les idées politiques d'Aldo Sterone n'ont rien à faire ici, son apport est sur le coté aviation où il démontre mieux que très bien que l'aviation ce n'est pas seulement de la technique, c'est avant tout du facteur humain et donc aussi de la philosophie, n'en déplaise. Etudier les accidents c'est la meilleure manière d'en apprendre le plus sur les machines et surtout sur nous même, nous sommes des êtres faillibles et il est nécessaire d'en être conscient, nous sommes dans un avion le maillon potentiellement le plus faible. Les certitudes peuvent être fatales, la remise en question nécessaire.
Pour être libre il faut être apolitique et agnostique, ce qui n'empêche nullement d' écouter les gens avec qui nous ne sommes pas d'accord, sinon on tombe sous la soumission d'un chef comme l'explique très bien Boris Cyrulnik.... Quand on voit tous ces abrutis se précipiter dans les meetings politiques, c'est un peu comme aller à la messe.
Avec tout ce qu'Aldo a raconté sur l'Islam je comprends un peu mieux pourquoi il fait ses vidéos dans sa voiture.
Enfin être aviateur m'a appris que pour qu'un avion vole droit, il faut que l'aile gauche porte autant que l'aile droite, et que cette dernière ne traine pas plus que l'opposée, on a ainsi un équilibre, mais ce n'est pas suffisant, encore faut il que cet équilibre soit stable. Tiens je me mets à faire de la politique déguisée, va falloir que je me soigne.
a+ !
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